Je me dépêchais de sortir de l'Université, je savais que je n'aurais sans doute pas du achever cet homme, mais sa avait été plus fort que moi. la présence d'Amy réussissais à me calmer et me garder concentrer sur notre tâche. Je laissais mes pas me guider vers la salle des machines et trouvait Lex, assis entre deux tinque à eau. Il se leva très vite et me jeta un seul coup d'œil et fronça les sourcils.
- T'es pas juste un flic toi, n'est-ce pas? Demanda-t-il.
- Avance. Lui ordonnais-je en le poussant légèrement dans le dos.
Je n'avais pas envie de penser à la Russie, à l'homme qui venait de s'infiltrer dans cet école dans le seul but de m'éliminer. Nous sortirent de la salle des machines et une fois au soleil je réalisais que j'avais tué un de mes compatriotes. Dès que nous descendirent les escaliers de secours, des policiers prirent Lex par les épaules et lui mirent les menottes aux poignets. Je retirais mon gilet parre-balle avec rage le lançant à bout de bras et passant une main dans mes cheveux. Oh je savais que mon pays ne me pardonnerait pas si facilement, mis je n'avais jamais cru qu'ils viendraient jusqu'en Amérique pour se venger. J'avais été grossièrement mis au courant que ma tête valait une jolie fortune, je n'arrivais pas à croire que même à l'autre bout du monde je ne pouvais me sauver d'eux. J'entendis Delko déclarer sans se cacher que j'étais un danger pour tout le monde. Il n'avait pas tort et le pire dans tout sa, c'était que je représentais sans doute le plus de danger pour Andy et Amy, les deux personnes qui comptaient le plus pour moi. Je vis Amy marcher vers Horatio et Delko et je sus avant même qu'elle ouvre la bouche qu'elle allait en faire voir de toute les couleurs à ce cher Delko. Je voulu la retenir, mais une partie de moi voulait voir ce qu'elle allait faire. Elle se mit à ma grande surprise à me défendre. Horatio sembla aussi surpris que moi alors que Delko sembla blesser dans son orgueil. J'étais figé sur place, complètement pris au dépourvu. Personne n'avait jamais fait une chose pareille pour moi. J'avais toujours eu à combattre seul, personne n'avait jamais pris ma défense...Lorsqu'elle s'éloigna de Delko, je la suivis, ramassant ma veste parre-balle. Je n'osais pas trop la regarder, cela voulait dire beaucoup pour moi qu'elle prenne ma défense.
- Merci. D'avoir pris ma défense. Personne ne l'avait fait avant toi. Murmurais-je.
Je l'observais défaire ses cheveux et s'assoir à l'arrière de la camionette. Je devais lui dire, avant n'importe qui d'autre ce que je venais d'apprendre. J'ouvris la bouche pour lui expliquer le danger qui m'entourais lorsque Horatio cria mon nom et me demanda une minute de venir le voir. Je me tenais devant lui, incertain de comment me comporter.
- Tu ne dois pas tuer, sauf dans les cas extrêmes. M'averti Horatio. Tu n'avais aucun droit de prendre la vie de cet homme.
Je baissais les yeux, je n'osais pas regarder Horatio de peur qu'il ne découvre se que je venais d'apprendre.
- C'était un cas extrême. Il a essayer de me tuer. Dis-je comme un enfant que l'on puni.
- Tu me caches quelque chose.
Je soupirais.
- Ils ne sont pas très heureux que j'ai changer de camp. Il y a un prix sur ma tête.
- Et c'est maintenant que tu me dis cela? Soupira Horatio.
- Je ne croyais pas qu'ils viendraient jusqu'ici. Avouais-je.
Horatio leva la main et me donna conger. Je retournais à la camionnette, Amy devait savoir, je devais tout lui dire.
- Amy...Écoute moi bien...
Elle leva les yeux vers moi, fatigué, un peu frustré. Je m'assis près d'elle et l'observait.
- Cet homme...il était venu pour moi. Mon pays n'est pas d'accord avec mon choix de changer de camp. Ils ont décider d'employer la méthode dure...ils vont tenter de m'éliminer.