New year, new me [Nikita]

Il y avait près d'une demi heure que j'avais reçu un texto de la part d'Horatio me demandant de me trainer jusqu'au boulot pour je ne sais trop quelle raison, mais j'avais choisit de retomber endormi et de serrer Hasina contre moi. Pour une fois que son horaire de débile (qui croyait que les ballerines s'entrainaient autant...) lui permettait de rester au lit avec moi, Horatio n'allait pas me ruiner cela. O v e r M y D e a d B o d y. Évidemment lorsqu'il m'appella cinq fois, je soupirais et me levais pour m'habiller. Je me dépêchais de manger et de ramasser mes affaires avant de partir en criant un "Je t'aime" à Hasina. Je conduisit rapidement pour aller ramasser Nikita. Assis sur les escaliers de son appartement, les joues appuyer sur ses mains l'air boudeur j'en déduisit qu'il m'avait attendu longtemps. Il descendit les escaliers à la hâte et se glissa dans le siège passager.

- T'avais une bonne raison de me faire attendre un heure et demi Andryusha? Me demanda-t-il en boudant.

Je levais les yeux au ciel, quand il voulait être dramatique, il l'était à 200%

- Oui, mon sommeil. Tu sais, nous les êtres humains on dort dans la vie, je sais pas pour les aliens comme toi, mais moi j'ai besoin de dormir dans la vie.

Il leva les yeux au ciel et croisa les bras en évitant mon regard. Non, mais quel gamin! Je conduisis jusqu'à l'hôtel bombardé qui serait notre lieu d'enquête pour un moment. Je me garais et sortie de la voiture, Nikita m'ignorant toujours. Amy était debout dans le stationnement parlant avec un Delko qui semblait avoir une journée à chier.
- AMY! Criais-je en lui envoyant la main.
Elle leva les yeux au ciel et m'envoya la main en retour. Je me dirigeais vers elle avec un sourire. On avait pas été tout les trois sur le terrain depuis trop longtemps.
- C'est cool les coupures, c'est toi qui les ait faites? Demanda Delko sèchement. Je baissais les yeux sur mes manches qui était relevé aux coudes.
- Ouais, t'en veux toi aussi?
Il m'observa les yeux ronds, l'air un peu coupable et en l'ignorant je continuais mon chemin vers Amy.
- Ma petite Amy favorite! Dis-je en la prenant dans mes bras.

Nikita était toujours loin derrière moi, observant la structure calcinée, noire de suie, encore fumante de l'hôtel. Il semblait fasciné.

Si un jour il arrêtait de me bouder, nous pourrions aller faire chier Caine ensemble.

Je me retourne en entendant mon nom de la bouche d'Andy. J'avais l'impression que ça faisait une éternité que je ne l'avais pas vu, mais en réalité, ça ne faisait que quelques jours. Je lui souris et m'approche pour me blottir dans ses bras. Je rigole à sa remarque envers Eric. 

- Je ne sais pas ce qui lui prend, mais il est de mauvaise humeur ajourd'hui. 

Enfin, il l'était plus que d'habitude. Je me décolle et lève le regard vers Nikita qui était resté plus loin.  Je soupire légèrement. Depuis sa perte de mémoire, notre relation était devenue compliquée. Nous avions décidé de prendre du temps chacun de notre côté pour réussir à se remettre de cet évènement. Nous pourrions même utiliser le terme de "pause", même si ce n'est pas mon terme préféré à utiliser. Les premières semaines avaient étées difficiles puisque nous avions l'habitude d'être toujours ensemble, mais après un moment, je m'étais habituée à ne plus le voir aussi souvent. Cette pause m'avait également permi de reprendre mes pensées et de profiter de d'autre chose que la drama que nous avions vécu depuis 1 an.  Je lui souris faiblement et envoi la main sans savoir s'il m'avait remarqué.


- Comment il va, demandais-je à Andy alors que Nikita était encore trop loin pour m'entendre.

J'observais moi aussi Nikita à la dérobé, malgré ses 6'4 et 200 livres de muscles, il avait l'air d'un petit garçon alors qu'il observait ce qui restait de l'hôtel. Ses yeux bleus semblait un peu confus, mais c'était bien la seule émotion sur son visage. Je haussais les épaules à la question d'Amy. Comment il allait? Il pensait encore plus en Russe qu'en Anglais, il avait par moment des migraines assez intenses et il avait pour une raison que j'ignore décider de ne pas se couper les cheveux. Un vrai gamin!

- Bah aujourd'hui il me boude parce que je suis passé le chercher en retard. Mais sinon, il va bien.

Je me tournais vers Amy et lui fit un petit sourire.

- Il se porte bien. Il a encore des migraines, et il parle encore plus de russe que d'Anglais mais sa va...vraiment.

Par moment je n'arrivais pas à croire que Nikita avait choisit de rester, qu'il avait refuser la seconde chance que lui offrait la FSB. Au moins le putain de freak qu'était Vassily ne serait plus dans nos jambes.

- Sinon, toi sa va? La vie te traite bien? Ou enfin...mieux?

L'espace d'un moment je me demandais si nous ne devions pas aller chercher Nikita.

Je lui souris et hoche la tête. 

- Je vais bien. Disons que j'ai fais la paix presque complètement avec le passé et que je suis prête à aller de l'avant.

Je me retourne vers l'hôtel et décide qu'il est temps de se mettre à travailler. Nous faisons signe à Nikita et je les amène parmi les débris et regarde autour. 

- De ce que je sais, il y aurait eu une bombe attachée à une des poutres stratégique qui soutiennait le bâtiment et que c'est pour cette raision que tout s'est effrondré. 

Je continue à m'avancer dans les débis de l'hôtel. Selon les informations que j'avais, la partie la plus rapprochée, celle ou nous étions, était supposément la plus stable de tout le bâtiment. Je regarde les murs effondré autour de nous à la recherche d'un indice quelconque sans rien trouver de pertinent. Je soupire et donne un coup dans un petit morceau de béton qui trainait devant moi et en dessous, je remarque un bout de plastique noir qui ressemble étrangement à un "burner phone". Je me penche et le prend dans mes mains pour l'examiner. 

- Je crois que je viens de trouver le détonnateur. 


Je l'observe de tout les côtés. Il était presque calciné et un fil rouge sortait d'une extrémité. Est-ce qu'il sagissait d'un kamikaz? C'était impossible qu'une personne ai pu déclencher la bombe à distance avec ce genre d'engin. Je le passe à Andy et m'aventure au travers d'une énorme fente dans le mur. De l'autre côté, je vis une pièce, une ancienne chambre au rez-de-chaussé probablement. Le lit était complètement déchirer, mais la pièce était en bonne état considérant le reste du bâtiment. J'entendis un pas derrière moi et me tourna brusquement. 

- Don't scare me like that! dis-je à Nikita.

Je penchais la tête en observant la structure calcinée de l'hôtel. L'odeur m'était familière, âcre et épaisse. Je n'en voulais pas vraiment à Andy, s'il était venu en retard se matin qu'est-ce que sa changeait? Je ne me rappelais pas plus des choses que j'avais oublier. Je me rappelais de beaucoup de chose, mais par moment...c'était le noir total. Je fixais l'hôtel en soupirant. Il était évident que sa avait été prémédité. Un immeuble ne s'effondrait pas comme ça naturellement, quelqu'un avait dû y penser et avait placé la bombe stratégiquement. Lorsque je vis Amy et Andy s'approcher de moi, je les suivis sans un mot. Amy fouillait les lieux alors que moi je continuais de regarder autour de moi. J'avais un déjà vu étrange. J'écoutais d'une oreille distraite se que disais Amy, lorsqu'elle posa un résidue de ce qui semblait être un téléphone relié à un cable rouge à Andy. Je ne la regardais même pas partir.

- Dis Andy...J'ai fait sauter une gallerie d'art? J'ai comme...un déjà vue bizarre.

Andy me jeta un regard noir et leva les yeux au ciel.

- Ah parce que tu me parles maintenant? Me répondit-il.

Comme il n'allait pas me répondre, je haussais les épaules et allait trouver Amy. Elle était penché sur la décombre d'un lit, observant des détails sans doutes. Elle se releva à une vitesse impressionante en me disant sèchement de ne pas lui faire peur comme sa. Je hochais la tête timidement.

- Tu le sais sans doute pas, mais...je te demande quand même...j'aurais pas fait sauter une gallerie d'art par hasard? Je...j'ai une déjà vu pas très net.

Elle me fixa un long moment, l'air incrédule. Je clignais des yeux et attendis patiemment une réponse.

Je soupire et fronce légèrement les sourcils. 

- Oui... dans une mission qu'Horatio nous avait confié, tu étais complètement saoul et tu as fait sauté une gallerie d'art au complet parce que tu n'avais pas vraiment supporté le fait que je drague un sus...

Je me tais soudainement ne voulant pas revenir sur ce détails de cette soirée. Ce n'était pas nécessaire. Je me frotte faiblement la nuque et détourne le regard vers le fond de la pièce. Je remarque alors qu'il y avait quelque chose de coincé entre deux morceaux de mur. Je m'approche prudemment et me penche pour observer ce qui était là. Ca ressemblait beaucoup à un livre. Je tends la main pour l'enlever. 

En enlevant le livre, le sol se mit à trembler et je le lâche brusquement. Nikita et moi nous nous regardons et avant que nous puissions nous rendre à la sortie, la fente dans laquelle nous avions passé, tout s'écroule et devient noir.  Un silence d'acier s'installe alors que je tousse et tente de me redresser dans la poussière et les débris. Je balaye ma main devant mon visage pour faire dissiper la poussière et regarde autour de moi, tout en restant étendu sur le sol. Il n'y avait presque plus de lumière et je n'arrivais pas à voir une sortie possible. Je tousse de nouveau et senti un mal passé au travers de mon bras et de ma jambe. Je baisse mon regard et je vois des coupures un peu partout causé par les débris qui sont tombé du plafond. Nous étions complètement enseveli dans les débris et je n'entendais personne à l'extérieur de la pièce qui s'était soudainement rétréci.

Mhhh voilà qui expliquait beaucoup de chose. J'avais fait sauté une gallerie d'art et...apparement parce qu'Amy avait dû séduire un suspect. Ah. Je baissais la tête un peu honteux et observais Amy s'approcher d'une fente dans ce qui restait du mur. Elle en ressorti ce qui ressemblait à un livre, le dessus brûlé, mais les pages noirci encore intact. Elle leva les yeux vers moi et je n'aima pas du tout le regard qu'elle me lança, cela ne voulait rien dire de bon. Avant même que nous ayons le temps de nous rendre à la porte pour sortir, un vrombissement me remplis les oreilles, puis rien. Le noir, l'odeur étouffante de produit chimique et de cendre. Je rouvris les yeux et j'étais étendue sur le sol rocheux. Je me redressais en étouffant un gémissement de douleur, quelques côtes cassé, mais rien de mortel. Des coupures, des bleus...

- Mais j'en ai plus que marre moi d'exploser! Ronchonnais-je.

Je sortis mon téléphone de ma poche de jeans et l'ouvrit sur la fonction lampe de poche. Je vis Amy assise contre le mur, se tenant un bras. Sur une de ses joues une coupure saignait lentement.

- Tout va bien? Demandais-je

Peut-être que cette explosion là allait me ramener mes souvenirs, qui sait. Je tentais de texter Andy, mais sans succès, je n'avais aucun signal. Génial.

- Pourquoi t'as pris ce livre, aussi? Soupirais-je. Si tu l'avais laissé là, on n'en serait pas là.

Je fermais les yeux. Vraiment...ce kamikaze, ce terroriste...whatever, il allait avoir un mauvais quart d'heure lorsque je sortirais d'ici. Être enterré dans les décombres, c'est pas vraiment mon truc. Je rouvris les yeux, toujours dans la noirceur.

- Personne qu'on est là...T'avais averti Horatio avant de venir fouiller l'hôtel? Demandais-je même si je savais que Caine serait le dernier à venir à ma rescousse.

Je senti le rouge de colère me monter aux joues. Je prends le morceau de béton le plus proche de moi, pas plus gros qu'une roche, et le lui lança brusquement. J'eu une grimace de douleur, mais l'ignora. 

- Va chier Volkov! C'est quoi ton foutu problème?! 

Je repose brusquement ma tête sur le morceau de mur sur lequel j'étais accoté. Il n'avait aucune raison de me tomber dessus comme ça. Je soupire brusquement et essaye de me lever pour chercher quelque chose pour briser le béton. 

- J'en ai assez que tu mettes tout sur mon dos depuis que tu es revenu! Tu me tapes réellement sur les nerfs. Arrête de mettre tout tes problèmes sur mon dos. T'avais qu'a pas me suivre alors ferme la. 

Je soupire en ne trouvant rien qui peu être utile. Je sors mon téléphone de ma poche et remarque qu'il est complètement craqué. Je soupire de nouveau et le lance sur le morceau de béton le plus proche. Il m'énervait à chaque fois. Pourquoi avait-il autant changé? 

- J'en ai assez que tu agisses comme un enfant... 

Je me rasseois sur le sol et me met le visage entre les mains.

Je n'eu qu'à peine le temps de détourner la tête avant qu'Amy me flingue un morceau de béton à la figure. Je relevais la tête les yeux ronds et la fixais, what the fuck? Ce que j'avais dis était vrai, elle avait touché à un objet qu'elle n'aurait pas dû toucher, elle n'a aucun entrainement comme démineur. Pourquoi c'était à moi qu'elle balançait du béton? Et puis, mon problème...mes problèmes, au pluriel s'il vous plait! De 1) je ne me rappelle que de 30% des dernières 5 années, de 2) tout le monde s'attend à ce que les choses reprenne leur cours normal alors que moi je suis perdu, mais tout le monde s'en fout de 3) je me souviens de trucs vraiment étrange et de 4) Amy et Andy n'aime pas répondre à mes questions, alors comment je suis sensé recoller les morceaux?

- Je te mets mes problèmes sur le dos? Dis-je incrédule. Ah vraiment! C'est bien. Excuse moi de devoir me fier à toi pour me rappeler mon propre passé. Mais c'est bon en, je gère, me rappeler de rien c'est pas si grave.

Oui je l'avais suivi dans cette pièce, mais parce que Andy n'allait pas répondre à mes questions, s'il avait gentiment répondu, je serais de l'autre côté de se mur de débris. Je levais les yeux au ciel.

- Eh puis si je t'ai suivi c'est parce que j'avais une question pas parce que j'en avais envie. Murmurais-je. Pourquoi vous répondez jamais quand je vous pose une question? Je sais que ce ne sont pas des bons souvenirs, mais...je fais comment moi?

Je me mordis la langue pour ne pas répondre lorsqu'elle me traita d'enfant, mais elle était pas sérieuse?

- C'est bien de se faire chier, mais sa ne nous aidera pas à sortir d'ici. Dis-je en me levant.

Je m'accroupis là où se trouvait la porte avant l'explosion et mesurais du mieux que je le pu l'épaisseur des débris bloquant la porte.

- Il y a près d'un mètre et demi de débris devant la porte, sans compter la partie du plafond qui c'est effondré. Puis les produits chimiques qui était dans la bombe peuvent être nocifs, on sait pas combien de temps nous avons avec de l'air relativement frais ici.

Le regard vide que me jeta Amy, me rendis légèrement confus.

- Ben quoi? J'ai parler Russe ou quelque chose?

- Comme si c'était facile de revenir sur ce qui s'est passé..


- Tu ne sais même plus qui nous sommes réellement. Comment penses-tu que nous gérons ça? On était une famille et maintenant tout est partie en poussière comme ce fou tu bâtiment.

Je le regarde examiner les débris et il parla pendant quelque secondes dans un anglais impeccable. Je reste bouché bée quelques secondes. Je me ressaisi et haussa les épaules.

-Non, pas du tout justement. 

Je m’assois en indien sur le sol et continue de tousser. La poussière commençait déjà à être insupportable et l'air devenait lourd. Je ne sais pas combien de temps nous allions réussir à rester ici sans asphyxier. 

- De toute façon, nous n'avons pas de moyen de sortir d'ici. Les réseaux cellulaires ne fonctionnent plus, l'entrée est bouchée et on étouffe, dis-je en sentant monter en moi une panique. Et on ne sait pas ou est Andy! Peut-être qu'il est sous des décombres un peu plus loin ou qu'il est mort ou..ou..ou.. 


Je refoule la panique qui commençait à s'emparer de moi. C'était stupide. Pourquoi est-ce que je paniquais de la sorte? Je suis plus forte que cela. J'ai eu des aventures plus intense que celle-ci. Je me suis affronter contre les russes non de dieu!

Je fus un peu sonné par les mots d'Amy. Ils jouèrent en boucle un long moment dans ma tête. Sans trop savoir pourquoi ils m'avaient blessé plus que je ne l'aurais cru et pourtant je savais que c'était ce qu'elle me dirait. De le savoir ne m'avait pas fait moins mal.

Tu ne sais même plus qui nous sommes réellement. Comment penses-tu que nous gérons ça? On était une famille et maintenant tout est partie en poussière comme ce fou tu bâtiment.

Je hochais la tête lentement.

- D'accord. Fut tout ce que je répondis.

Elle se redressa et se mit à se lamenter que nous ne surviveriont pas bien longtemps, que nous allions asphyxier et qu'Andy était sans doute déjà mort. Un pep talk de la mort. Je croisais les bras et m'appuyais contre les débris. Elle avait raison sur un point par contre, zéro connection ou wifi voulait dire que nous étions doublement plus difficile à trouver. Puis alors que je m'y attendait le moins, mon téléphone vibra sur le sol, l'écran s'allumant, le nom d'Andy en noir. Amy et moi échangèrent un regard confus. Nous nous agenouillèrent côte à côte. Je pris mon téléphone et cliqua sur le texto qu'Andy venait de m'envoyer (peut-être d'outretombe.) Son message n'avait aucun sens pour moi.

Andy: Vous saviez que Calleigh était enceinte vous?

Je levais les yeux vers Amy. Elle semblait un peu frustré du message d'Andy.

- ...C'est qui Calleigh? La blonde ou la brune?

À voir son visage, je compris que ce n'était pas le temps.

- On peut essayer de lui envoyer un message, on ne sait pas si sa va fonctionner, mais on perd rien à essayer, non?

Amy pris mon téléphone et commença à écrire à Andy dans l'espoir de pouvoir le rejoindre. Comment était-il même sorti des débris? Ou n'avait-il même pas été sur les lieux lors de l'explosion?

Je roule les yeux vers le ciel en voyant le texto d'Andy sur l'écran du téléphone cellulaire de Nikita. Était-il au moins au courant que le bâtiment s'était effondré et que nous étions coincés sous les débris? Probablement pas. Il devait être en train de flirter avec une stagiaire comme d'habitude. Je prend le téléphone de Nikita et commence a écrire un message. Il avait raison, nous n'avions rien à perdre.

Espèce d'imbécile. Nous sommes coincés sous les débris! Viens nous sortir de là.

J'appuie sur le bouton envoyé et soupire en espérant que mon texto s'envoie. La barre d'envois devient verte et je soupire de soulagement. Andy allait finalement venir nous sortir de là. Je redonne le téléphone à Nikita et retourne m'asseoir dans mon coin en silence.

Je voulais bien me rapprocher de Nikita de nouveau, mais depuis son accident et tout ce qui s'est passé par la suite, c'était très difficile. J'en avais une marque permanente sur le ventre. À chaque fois que je lève les yeux vers lui, je vois