Honey baby, sweetie cutipie, sugar. (Amy)

Amy plaça le téléphone dans les mains et je commençais à lire les texto qui se trouvait sur le téléphone de Volkov. Pour la plupart, ils ne faisait aucun sens pour moi, des locations et des heures. Je fronçais les sourcils, il était encore plus étrange que je l'avais cru. Puis les messages plus récents étaient plutôt colorés, vulgaire et menaçants, tous venants d'un certains dénommé Fedorov. Je doutais qu'il soit l'ami de Volkov avec toute les insultes qui se glissais dans ses textos. Puis je levais les yeux vers Amy, pour une tireuse d'élite, elle semblait nerveuse autour d'armes à feu. Elle semblait curieuse de savoir comment j'avais mis la main sur le téléphone de Volkov puisqu'il ne s'en séparait jamais.

- Je comprend qu'il ne laisse personne s'approcher de son téléphone, avec ce genre de texto, moi aussi je garderais mon téléphone sur moi en tout temps. Avouais-je. Et c'était asez facile de le voler pendant qu'il se douchait.

Le dernier texto qu'il avait reçu était très claire; tu sais ce que l'on fait des traitres, on s'en débarrasse. Nous te trouverons Volkov.

- Pas très élogieux, ce Fedorov le menace a toute heure de la journée. Il dit qu'il est un traitre et qu'ils le retrouverons. Il est assez intense.

Je fronce les sourcils et me rapproche de nouveau de Andy. Il avait des menaces d'un certain Frederov? Je croise les bras en regardant le téléphone.

- Des menaces? Tu es certain? Parce que pourtant, je crois que Nikita m'en aurait parlé s'il avait des menaces de quelqu'un.

Je commence à marcher dans la pièce en réfléchissant. Qui était se Federov? Que voulait-il à Nikita? Je me passe une main dans les cheveux et finis par me tourner vers Andy.

- Il faut que je sache qui est ce Federov. Écrit lui de le retrouver dans le stationneemnt de l'usine désinfectée. 


J'avais le sentiment que ce que je voulais faire était dangereux. Je sais très bien quei Nikita sera en grosse colère, s'il voyait ce que je faisais, mais je ne voulais pas le laisser seul dans tout cela.

Je haussais les épaules, ma gardienne était une personne très privée, s'il ne voulait pas parler de l'intimidation qu'il subissait de son pays, c'était son choix. J'en avais appris beaucoup plus en fouillant son téléphone qu'en lui parlant. Quoique Volkov n'était pas du genre à faire la conversation.

- Tu sais autant que moi qu'il tiens à ses secrets. Lui dis-je.

Puis elle me demanda de donner rendez-vous à ce type dans le stationnement de l'usine désaffectée où ils avaient arrêté les membres de la Bravta. Je pouvais sentir que c'était une mauvaise idée, si les connaissances de Volkov était aussi meurtrière que lui...nous avions probablement signé notre arrêt de mort. J'écrivis tout de même un petit texto bien simple avec l'heure et la location du rendez-vous. En attendant la réponse de ce Fedorov, je m'aventurais dans les photos de Volkov. Je dus me retenir de rire en voyant ses deux seules photos. Une de son minuscule chat et l'autre de lui avec le petit chat, faisant des grimaces pour la caméra, le chat avait l'air de sourire. J'éclatais de rire à quoi bon me retenir?

- Oh mon dieu tu dois voir ça! Dis-je en riant.

Je sentis l'adrénaline monter en moi. C'était une mauvaise idée, je le savais bien. Cependant, je ne pouvais pas supporter le fait de traiter quelqu'un comme ce Federov traitait  Nikita. De plus j'avais retrouvé un dossier concernant ce Federov, un russe, qui avait de mauvaises réputation au sein de la police. L'arrêter serait quelque chose de très gros.  Je m'étais donné la tâche de nettoyer mon bureau. Enfin essayer puisque je n'étais pas une personne ordonnée à la base. Alors durant cette initiative de ménage improvisé, j'entendis Andy me dire d'aller voir ce qu'il a trouvé. Je m'approche de lui et voit par dessus son épaule, des dizaines de photos de Nikita et de son chat.  Je rigole avec Andy.

- C'est son chaton Adél.. André... Adrénaline? Bref, ce n'est pas important. Mais oui Nikita, l'armoire à glace possède un petit chaton tout mignon.

Voir ces photos me firent remarquer à quel point il n'avait pas un coeur de glace comme il le montrait au reste du monde. Enfin, je le savais déjà, mais si un géant comme Nikita pouvait apprécier la compagnie d'une petite boule de poils comme son chaton, il était fort possible qu'il avait un coeur tendre et chaleureux derrière cette glace. Je continuais de regarder les photos avec Andy et soudain, une notification sur le téléphone de Nikita apparut. C'était en russe, mais je pouvais bien voir qu'il s'agissait de Federov.

- Qu'a-t-il dit?

Je regarde Andy lire le message et du moment qu'il me donne la réponse de Federov, je hoche la tête et ramasse ma veste, mes clés et mon arme pour partir au lieu de rencontre. Alors que j'allais sortir du bureau, je me tourne vers Andy et le regarde sérieusement.

- Si tu dis quoi que ce soit à Nikita, je vais m'assurer que tu sois collé à lui le restant de ta vie.

Je tourne les talons et part au lieu de rendez-vous. Je savais très bien que ce n'était pas légal et que cette intervention était dangereuse, qu'elle ne suivait pas le protocol et qu'y aller seule était dangereux. Surtou que connaissant les russes, ils étaient tout de même violents et agressif. Je monte dans ma voiture, mis le contact et roula jusqu'au lieu de rendez-vous. Ça me prit environs 20 minutes pour faire la route d'un bout à l'autre de la ville. En arrivant dans le stationnement de l'immeuble abandonné, je gara ma voiture et en sortit en regardant les vitres éclatées et recouverte de plusieurs planches de bois. Je pris une respiration et m'approcha de la porte principale avant d'entrer.

L'intérieur était très sombre, comme la dernière fois que j'y étais allé. Nous avions eu une arrestation de Alexei Vassily, un ancien amant de Nikita et un des principaux fondateurs de la traite de blanche et le trafic d'être humain et surtout des organes. En y repensant, cela me leva le cœur. J'allume la petite lampe de poche que je traine toujours sur moi et regarda aux alentours. Il n'y avait personne. Je fronce les sourcils et continue de m'aventurer dans les corridors jusqu'à ce que j'arrive à une porte entre-ouverte. Je sors doucement mon arme. Je pousse la porte avec un main, tenant mon arme dans l'autre. Je vis quelque chose arriver sur moi. Je n'eus pas le temps de l'esquiver que tout devint noir.

J'observais l'écran, j'étais surpris que Fedorov me réponde, il me semblait tellement loin, il n'était pas du tout comme une vrai personne dans ma tête. Il n'était qu'un nom. Plus maintenant. Je réalisais l'ampleur de la gaffe que j'avais faite, je ne connaissais pas beaucoup Amy, j'aurais pu mettre ma main au feu qu'elle avait assez de cœur au ventre pour aller rencontrer se malade mental russe toute seule. J'hésita avant de lui traduire le message de Fedorov.

- Soit à l'heure Volkov. Je n'attendrais pas. Dis-je, lisant les mots de cet homme. C'est tout ce qu'il dit.

Amy ramassa ses choses en vitesse et se tourna vers moi les yeux menaçants. Évidemment elle ne voulait pas que j'en souffle un mot à ma gardienne. Elle serait déçu. Puis elle me m'averti que si je la trahissais elle s'assurerait que je passe ma vie au côté de Volkov. Je m'imaginais mal dans une maison pour personne âgé à me bercer avec un russe beaucoup trop intense pour être agréable.

- Dieu du ciel, ça va, pas besoin d'être méchante. Levais-je les yeux au ciel.


J'avais du mal à regarder Volkov lorsque je le retrouvais à la cafétéria. Il avait une assiette remplie de nourriture et mangeait en silence. Si Amy valait autant que je le pensais au yeux de Nikita, il n'hésiterait pas à me castrer. Je soupirais et volait un morceau de pain de son assiette pour me faire jeter un regard sombre.

- Je ne partage pas ma bouffe. M'avertit-il.

Puis il m'observa curieux, je vola un autre bout de nourriture, si ma bouche était occupé alors je ne pourrais pas parler.

- Comme tu as décider d'aller jouer avec Amy à la balistique tu lui dira qu'Horatio la cherche. Il veut revoir un rapport de mission. Dit Nikita la voix complètement neutre.

Ah bordel. Je soupirais et pris le verre d'eau de Nikita et me permis de boire sous son regard offensé.

- Promet que tu ne te fâchera pas, que je serais en un morceau, que je ne saignerais pas, que la table restera comme elle est et que tu ne brisera pas toute la cafétéria.

Nikita fronça les sourcils et je glissa sur la table son téléphone. S'il a ait l'air intimidant avant, il avait l'air d'avoir envie de sang en ce moment.

- J'ai volé ton téléphone. Amy a donner rendez-vous à un vieux maniaque du nom de Fedorov et elle est parti à sa rencontre...là, tout de suite. Toute seule. En passant il est mignon ton chat.

Nikita silencieux, se leva les poings serrer, pris sa veste de cuire et sorti de la cafétéria. Je ne sais pas si j'hallucinais, mais Volkov semblait trembler de partout.

Je me mis à tousser lorsque je repris conscience. J'avais un affreux mal de tête et lorsque je porta ma main à mon front, je sentis un léger liquide chaud. C'était surement du sang. J'ouvre les yeux pour voir ou je me trouve et je ne vois que quatre mur de bois autour de moi. Je remarque que je suis également couchée sur du béton dur et froid. J'eus un frisson car cela me rappela le kidnapping de Xavier et tout ce qui s'en était suivit après. Il y avait à peine de lumière dans la pièce, la seule source de lumière étant au travers des fines craque de planche de bois qui m'entourait. Je m’assois en m'accotant sur le mur, complètement étourdit. Je fouille dans la poche de ma veste pour sortir mon téléphone, mais je me met à paniquer en fouillant partout sans le trouver. Ce salaud m'avait prit mon téléphone. Si Nikita essayait de me joindre ou Horatio, il allait pouvoir l'utiliser. Je m'approche du mur de bois et essaye de le brisé en foncant dessus avec mon épaule. Ça n'a eu aucuns effet sauf me faire vraiment mal. Je me mis a réellement paniquer lorsque j'entendis des bruits de pas s'approcher. Je me recule et termine sur le mur.

Je vois la porte s'ouvrir et j'eus quasiment une crise cardiaque. L'homme devant moi était un géant. Encore plus que Nikita et encore plus menacant, surtout avec le peu de lumière. Je baisse faiblement le regard vers sa main et il y tient un couteau très aiguisé. Je déglutis alors qu'il s'approche de moi.

" Je déteste que la police vienne mettre son nez dans ce qui ne la regarde pas."

Je le fixa dans les yeux sans peur, enfin, sans en laisser paraitre.

- Qu'est-ce que tu vas faire? Me tuer? Tu vas avoir bien plus que la police a tes trousses.

Il se mit a rire, un rire très peu réconfortant et s'approche encore plus de moi. Il me met une main a la gorge me soulevant presque de terre. Il approcha son couteau à ma joue, juste en dessous de mon oeil et me coupa une longue ligne. Je lache un cri de douleur. Il continue son manège pendant plusieurs minutes. Dès qu'il me laisse tomber au sol, je lui enfonce un coup de pied dans les genoux pour réussir à le contourner et me sauver.  Cependant, il réussi à me rattraper. Il me tourne sur le dos au sol.

" Je vais te détruire lentement pour pouvoir savourer ce moment.. petite peste."

Je me débats contre lui, mais si je n'arrivais pas a me battre contre Nikita, je n'avais aucune chance contre lui. Il rapproche son couteau, et me l'enfonca dans l'épaule. Je lâcha un autre cri de douleur. Ce qui c'est passé ensuite? Je n'en sais rien. J'ai perdu connaissance pendant un long moment. Lorsque je réussi a ouvrir les yeux, malgré l'énorme douleur que je ressentais a l'épaule, aux bras et au ventre, je ne réussi qu'à voir deux ombres devant moi.

Je me levais et quittais la cafétéria. Je devais rattraper Nikita avant que lui aussi ne fasse quelque chose de stupide. Je le trouvais dans la balistique fouillant ses poches pour les clés de sa voiture.

- Hey! Ne sois pas stupide! Tu ne peux pas aller la chercher seul, ton syndrome du héro, tu peux te le fourrer là ou je pense. Dis-je.

Il se tourna vers moi et le regard dans ces yeux n'était pas celui d'un homme qui se battait du côté de la justice, c'était le regard d'un homme qui avait une mission et qui n'arrêterais à rien pour la réussir.

- Je n'y vais pas seul. Dit-il en russe.

- Ah non? Et qui va tu amener? Horatio peut-être?

- Toi. Fut sa seule réponse. Tu sais tirer?

Je grinçais des dents, oh il avait plus que des problèmes de colère, ce type là était complètement fou. Je hochais la tête. Il me lança un fusil automatique donc j'ignorais le modèle. Je le suivis donc à sa voiture et me glissais sur le siège passager. Sa conduite était digne d'un malade mental et je dus m'accrocher à mon siège. Il ne se retourna pas une fois vers moi.

- Où? Grogna-t-il

- La même usine où tu as reconnecter avec ton amour d'adolescence. Lui dis-je

Il me frappa violemment dans le ventre et je gémis de douleur.

- Je peux très bien conduire et te frapper. Me dit-il. Tu es certain que c'est l'endroit du rendez-vous?

- Da, Tovarish. Levais-je les yeux au ciel. Je sais lire.

Volkov freina si brusquement que je crus m'écraser contre le pare-brise. Mes jambes tremblaient en sortant de la BMW de se fou. Il était déjà à là porte d'entrée lorsque je me retourna. Je le suivis à l'intérieur et fronçais les sourcils. L'odeur de produit nettoyant était étrange. Nous fouillèrent le premier étage au grand complet. Ce ne fut qu'en montant au deuxième qu'une voix très grave nous atteignit et que Nikita devint complètement sauvage. Il entra dans la pièce et ne servis pas même de son fusil. Il se lança sur le géant qu'était Fedorov et roula sur le sol avec lui. Amy était sur le sol en mauvais état. Je me penchais vers elle et doucement pris son pouls en posant mes doigts contre son cou.

J'ouvris les yeux d'un seul coup, sans graduation lorsque je sentis une main sur moi. Je frappa contre la personne pour essayer de me defendre en tremblant. Quand on me prit les mains pour m'arreter. Je reussi a lever le regard et vis qu'Andy se tenait a cote de moi. Je tremblais de partout et paniquais. Je me blottis dans les bras d'Andy des que je fus en mesure de me relever. Je n'aurais jamais du venir icin seule. Je n'aurais jamais du venir point la ligne. Jentendais des bruits de bagarre alors qu'Andy essayait de me faire sortir de la piece. Je reussi a tourner faiblement la tete et reconnu Nikita et Federov se battant. Mon coeur ne fit qu'un bon et je rassembla le peu de force qu me restais pour me defaire d'Andy.

- Nikita non!

Le reste se passa au ralenti. Son regard bleu rencontrant le mien avant le coup fatal. Je lacha un cri en voyant la balle transperser son ventre. Federov avait l'air satisfair, debout avec son nez coulant de sang. Il avait l'air cassé. nikita avaut egalement plusieurs blessures et coupures au vusage. Je sentis les mains d'Andy tenter de me retenir, mais je reussi tout de meme a courir jusqua Nikita. Federov en profita pour sortir de la piece par une autre sortie. Je me lance au sol ignorant l'agonie que mon corps souffrait et essaya d'arreter le sang de couler. Mon sang se melangeant au sien, je le regarda.

- Non sil te plait! Non!

Je me mis a paniquer. Normalement je savais exactement comment reagir, mais j'etais paralysée. Il ne pouvait pas mourir lui aussi. Pas dans mes bras, pas comme c, pas a cause de moi. Je laisse andy tenir la boule de tissu et pris doucemebr la tete de Nikita sur mes genoux. Je nentendais plus rien, ne voyais plus rien et passa doucement mes mains dans les cheveux de nikita.

Nikita semblait déchainer, les grossièretés qui sortaient de sa bouche me surprenait, mais de ce que je comprenais de leur bagarre et de leur cris...Nikita était un traitre, un espion russe au service de Fedorov. J'essayais d'empêcher Amy de se débattre, j'ignorais la gravité de ses blessures, mais elle ne devait pas les aggraver. Lorsqu'elle réalisa enfin qui j'étais, elle ne perdis pas une seconde, elle se blottit contre moi. Je refermais les bras autour d'elle et me demandait dans quel monde j'étais tombé.

- On doit sortir Amy. Tu m'entends? On ne peut pas rester ici. Nikita suivra, il est un bon agent après tout.

Amy semblait sourde à ce que je lui disais, j'avais envie de la brasser et de lui crier que plus on perdait notre temps ici, plus longtemps Volkov se batterait. Dans les yeux verts d'Amy je vis qu'elle reconnut qui se battait devant elle comme des chiens. Le cris s'échappa de ses lèvres sans qu'elle ne puisse s'en empêcher et Volkov, comme attiré par un aimant tourna la tête vers elle. Elle avait toujours été sa faiblesse, je le compris à ce moment là. Elle se débâtit contre moi alors que je resserrais les bras autour d'elle. Je n'entendais absolument rien sauf mon coeur qui menaçait d'exploser. Lorsque la détonation du coup de fusil fit écho autour de nous, je mis un temps à comprendre ce qui c'était passé. Amy s'était déjà libérer de mes bras et je vis Nikita une main contre le ventre s'écraser par terre. Oh merde, non. Je savais que nous aurions du avertir d'autre agents, préparer une attaque, quelque chose...je n'étais pas prêt à voir Volkov mourir au bout de son sang. Il était mon ami, nous nous frappions et nous disons les pires choses à propos de l'autre, mais c'était mon ami. Amy était assise tout près de Nikita et elle semblait lui hurler de se relever, de ne pas l'abandonner, qu'elle ne le laisserait pas partir. Tout cela était irréel. Je m'assis près d'Amy et pris ma veste que je roulais en boule et plaçais contre le ventre de Nikita. Il était si pâle presque grisâtre sous la faible lumière. Il serra ma main douloureusement et gémis de douleur lorsque nerveusement je pressais trop fort contre sa blessure.

- Je suis désolé. Murmurais-je.

Il hocha la tête et se tourna vers Amy, étendit un bras vers elle et effleura faiblement sa joue.

- Malenk'ii feyerverk...lyubov.

Je me levais, saisit le téléphone et composait les doigts tremblants le numéro d'Horatio.

- Agent down...we need help.

Je secoua la tete, le menton et les bras tremblant au parole de Nikita. Je ne savais pas ce que le dernier mot signifiait, mais je savais que ca signifiat un certain adieu. Je retenais mes larmes de toute mes forces et pris son visage entre mes mains. Je refusais qu'il me dise cela. Il n'avait pas le droit de mourir. Il n'avait pas le droit de me laisser ici.

- Non... Arrete ca va bien aller. Les... Les secours sont en route.. D'accord? Je ne te laisserai pas. nikita reste avec moi je ten pris... Ouvre les yeux! nikita!

Je me mis a paniquer encore plus lorsque je vis Nikita fermer les yeux. S'il n'etait pas en maivaise etat, je l'aurais frapper pour qu'il se reveil. Je secoue la tete en essayant de le reveiller sans lui faire mal. Je leve la tete vers Andy et fit un regard qui disait que cetait de ma faute si Nikita allait mourir. Mon envie de justice avait mener a cela. Tout etait de ma faute. . Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester ainsi, mais lorsqu'on me forca a me relever, je metais debattu jusqua ce que je sente les mains d'Andy autour de moi. Je regardais les deux ambulanciers apporter Nikita sur la civiere. Il etait pale, pas un pale d'une personne ayant peu vu du soleil, mais un pale de mort sur sa peau. Je baisse mon regard vers mes mains et y voit recouvertes de sang et de coupure. Cest a ce moment que je repris conscience de mes blessures Je me retourna pour mettre mon visage contre le torse d'Andy et eclata en sanglot. Je me mis à m'excuser à Andy sans pouvoir m'arreter. C'était de ma faute. Tout etait de ma faute. Je n'allais pas pouoir le supporter si Nikita mourrait a cause de moi. Je sentis la soudaine mais inevitable faiblesse de la torture s'attaquer a moi. Lorsque lui et moi sortons du bâtiment, je vois Horatio au loin nous regarder. Je baisse le regard et me blotti davantage contre Andy. Deux autres ambulanciers s'approcha de nous en courant dans le but de soigner mes dizaines de coupures profondes qui saignaient toujours. Je refusa que les ambulanciers prennent soin de moi. Personne ne mecoutait mais je n'avais pas la force de me battre ... On me fis asseoir a larriere dlune ambulance pour me faire des bandages et me nettoyer les plaies profondes du visage que je ne sentais pas a cause du choc. Je tourne le regard vers Andy qui s'etait assi a cote de moi.

- je Je jene pourrai pas vivre avec ca. S'il ..s'il ..

Dire quil allait mourir etait au dela du possible. Jai toujours vu Nikita comme invincible et le voila maintenant entre la vie et la mort. Lorsque les bandages furent appliqué, surtout sur mon epaule qui avait ete transperser par la lame du couteau, je suis andy et monta dans la voiture de police fantome pour se diriger vers l'hopital suite au ok des ambulanciers. Assise sur la banquette arriere, Je tremblais toujours mais ne pleurais pas. Mon visage etait accote contre le rebord de la fenetre. Jetais silencieuse. Sans me retourner, j'enlace mes doigts avec ceux d'Andy. Je tourne faiblement la tete et le regarde.

- Tu tiens le coup?

En arrivant a l'hopital, on nous empecha daller dans la section des soins intensif, la ou etait Nikita pour recevoir une chirurgie, que nous devions attendre dans la salle d'attente alors que jetais recouverte de sang et je me mis a insulte en italien le medecin esperant que personne aux alentours ne parlait italien,car ce que je disais etait impronnoncable et je finis par me taire que lorsqu'on me traine dans la salle d'attente.

L'attente des ambulanciers fu infernal, est-ce que l'on m'accuserait cette fois-ci encore d'avoir voulu tuer quelqu'un de sang froid? Parce que c'était plus facile que de chercher le véritable ennmi? J'étais assis sur le sol et je fixais Nikita, tout n'était que chaos ici, je savais que nous n'aurions pas du faire irruption dans cette usine sans former de plan...j'étais un voleur jamais je ne travaillais sans plan! C'était beaucoup trop risqué! Et maintenant Nikita gisait sur le sol et pâlissait avec chaque minute qui passait. Lorsque je vis enfin les ambulanciers entrer dans la salle, je soupirais, peut-être que l'on avait encore une chance. Les ambulanciers tantèrent d'enlever Amy du chemin sans succès. J'enroulais doucement les bras autour d'Amy pour l'aider à ce lever. J'aida Amy à sortir et jetais un dernier regard à Nikita, on avait déchirer son chandail et un des ambulanciers tantait une méthode de réanimation cardiaque. Avant qu'Amy ne vois se gâchis, je la forçais à sortir. J'ignorais le regard de tout le monde, même celui d'Horatio qui semblait curieux de me trouver là. D'autre ambulanciers prirent Amy par les bras très doucement et l'assirent à l'arrière d'une des ambulances. Ils la soignèrent, lui posèrent des questions sur sa santé, mais Amy ne répondit rien. Je réalisais que j'étais attrocement chanceux de n'avoir que des égratignures. Le menton d'Amy trembla et elle leva les yeux vers moi.

- Ne dis pas des choses comme ça...Toi et moi nous savons à quel point il est têtu...il...il s'en remettra. Dis-je en m'asseoyant à côté d'elle.

Lorsque les ambulanciers la jugèrent hors de danger, nous ne perdirent aucune seconde et nous glissèrent sur la banquette de la voiture de police fantôme. Le chemin vers l'hôpital était angoissant. Je ne savais pas ce qui m'attendrais aux urgences. Amy glissa ses doigts entre les miens et je me tournais pour lui sourire faiblement. Est-ce que je tenais le coup?

- Je n'en ai aucune idée...tout ça...c'est comme un cauchmar en se moment, on dirait que rien n'est vrai.

On nous demanda assez fermement d'attendre dans la salle d'attente, on nous informa que les soins intensifs nous était hors limite et que Nikita s'il voulait vivre aurait à subir une chirurgie. À se moment là, Amy se mit à hurler, à pousser le médecin et à le menacer. Je m'approchais d'elle lentement et pris son bras, elle se tourna et me frappa sur la poitrine, m'en voulant de la retenir quand Nikita était si proche. J'avais encore le sentiment de son poing sur ma poitrine, les étincelles de douleur et le souffle coupé. C'est à ce moment là que j'ai réaliser que je ne me réveillerais pas. Tout était horriblement vrai.

- Je suis désolé Amy. Dis-je la gorge serré. Je suis tellement désolé.

J'enroulais mes bras autour d'elle et l'enlaçais.

Jeclata en sanglot une deuxieme fois lorsque Andy menlaca dans la salle dattente de lhopital. ca faisait mal, terriblement mal. Lattente de savoir si Nikita allait sen sortir ou non, mes blessures qui me faisait souffrir a lextreme, mon ventre qui brulait. Jenfouis ma tete dans le creux du cou dandy.

- Tout ca cest de ma faute. Cest a cause de moi quil se retrouve la!

Je continue a pleurer, me calmant doucement au fur et a mesure. Nous finissons par aller sasseoir sur les gros bancs inconfortables. Je ne pourrais pas dire combine de temps que nous avons passé assi la, lun dans les bras de lautre en silence. Nous attendions. Il ny avait rien dautre a faire. Je fixais le sol, refusant toute bouteille deau ou nourriture que lon moffrait. A chaque heure, il y avait une infirmiere qui venait prendre ma pression et verifier que jallais bien. Non je nallais pas bien. Javais mis la vie de Nikita en danger et celle d'Andy egalement. Je ne savais pas si jallais etre capable de regarder Nikita dans les yeux. Je ne sais pas s'il allait me pardoner ce que javais fait. Je leve faiblement la tete vers Andy.

- Pourquoi est-ce que jai fais ca Andy? Nikita va me detester.

Je soupier faiblement et reporte mon regard vers le sol. Nous avions passé quoi 5-6 ou meme 8 heures dans la salle dattente a ne rien faire. A fixer le mur. Je commencais faiblement a mendormir lorsque je vis le medecin, en tournant la tete sapprocher de nous avec son dossier dans les mains. Je me releve immediatement et mapprocha de lui le plus vite que je pouvais. Javais trop mal pour courir.

Attendre était interminable, mais je n'avais la force de ne rien faire d'autre. Amy refusa toute nourriture que l'on lui apporta, je ne trouva pas la force de l'accepter non plus. J'aurais dû empêcher Amy d'aller à cette rencontre seule et j'aurais dû empêcher Nikita de mener cette mission de sauvetage. Sans savoir pourquoi le fait de savoir que Nikita était un espion russe, quelqu'un qui ne se tenait pas du même côté de la justice que nous...me passa dix pieds au dessus de la tête. J'espérais seulement qu'il s'en tire. Près de quatre heures après que nous nous assirent dans la salle d'attente...ou peut-être étais-ce six? Je ne savais plus. Amy leva les yeux vers moi. Je savais qu'elle avait voulu bien faire, elle n'était pas une mauvaise personne.

- T'en fait pas. Je ne crois pas qu'il serait en mesure de te détester même s'il essayait. Lui dis-je doucement.

La salle d'attente c'était rempli et vidée au moins quatre fois depuis que nous étions arriver. Je commençais à jouer avec mon téléphone. Je piratais les téléphone des gens dans la pièce et réussis à trouver Netflix. J'étais au milieu d'un épisode de Friends lorsque Amy se leva brusquement et s'avança vers lui en essayant de camoufler sa douleur. Je vis devant elle, un médecin, un dossier dans les mains. Je me levais donc et m'arrêtais près d'Amy.

- Vous êtes les contacts d'urgence de Artemi Gorkine? Demanda le médecin.

Évidemment Horatio avait donné un faux nom, je me demandais s'il était au courant de ce que nous cachais Nikita. Je hochais la tête.

- Oui. Dis-je doucement.

- La chirurgie a été très délicate, il est hors de danger, mais il aura besoin d'au moins un mois de repos, sans activité physique. Nous averti le médecin.

Je vis bien l'air coupable sur le visage d'Amy.

- Et...est-ce que nous pouvons aller le voir? Demandais-je.

- Si vous le désirez, mais il est sous très forte dose de morphine, il se peu qu'il ne se réveille pas d'ici quelque jours. Il se trouve dans la chambre b82

Je pris Amy par la main et l'entrainait avec moi dans les couloirs de l'hôpital.

Je vis le faible mouvement de recul du médecin lorsqu'il m'a vue arriver vers lui. Je crois que je l'avais vraiment effrayé quelques heures plus tôt. Pourtant, il devait être habitué avec tout les malades et les blessés qui passent ici par jour. Je n'en fis rien et laissa Andy parler. Je voulais me mordre la lèvre, mon réflexe habituel, mais je ne la sentais pas et je crois qu'elle avait été fendue par Federov. Je me contenta de serrer mes mains l'une avec l'autre très fortement. C'était toujours un de mes moyens de me calmer même si en ce moment, rien ne semblait me calmer. J'eus un soulagement énorme lorsque le médecin nous dit que Nikita va s'en sauver.  J'aurais pleurée, mais je n'avais plus rien dans le corps refusant toute eau et nourriture. Je ferme doucement les yeux de soulagement et prit une respiration. Il allait s'en sortir. C'était la meilleure nouvelle que nous pouvions avoir. Cepedant, le reste fit assez mal au coeur. Je baisse le regard vers le sol ne pouvant plus soutenir le regard du médecin. Je laisse Andy me trainer dans les couloirs de l'hôpital pour trouver la chambre B82. L'hopital était immense et j'étais épuisée. J'avais mal partout, alors marcher comme cela me faisait encore plus souffrir.

En tournant un coin, je lève la tête vers les gens devant nous et me figea dans une peur bleue. Je m'arrête brusquement et me mis a paniquer ne sachant plus quoi faire. Je me remis a tremblée de la même facon que lorsqu'Andy m'avait sorti du bâtiment.  Il était là, j'étais certaine de l'avoir vue. Cela me prit plusieurs minutes avant de me calmer, mais je continuais à trembler. Je continue de suivre Andy au travers des gens, en m'aggripant beaucoup plus a lui. Je gardais la tête basse et ne regardait personne. Je ne supportais pas le regard de pitié des gens dans les couloirs. Lorsque nous arrivons a la chambre de Nikita, le mur du couloir était en vitre et nous pouvions observer à l'interieur de la chambre. Nous ralentissons et je jette un coup d'oeil. Je lâcha a peine la main d'Andy et m'approcha de la vitre. Ce que je voyais était irréel. Nikita était couché dans un lit, couvert d'une couverture bleu. Il semblait profondément endormi et reprenait doucement de la couleur. La pièce avec une grande fenêtre vers la ville et la plage. Des pochettes de sang en intraveineuse pendaient d'un poteau qui était relié au bras de Nikita avec un mince tube d'ou le liquide rougeâtre s'écoulait. J'avais envie de vomir.


- Nikita......

Tout les couloirs se ressemblaient, ils étaient blancs et l'odeur de produit nettoyant vous prenait à la gorge. Je retenus mon souffle comme agresser par l'odeur et mon concentrais sur la sensation de la main d'Amy dans la mienne. Je ne pensais plus à rien, rien du tout sauf le fait que Nikita se trouvait quelque part ici et qu'il allait bien...qu'il irait mieux. Nous tournèrent dans un petit couloir aux chambres vitrés, il ne se trouvait que quatre chambre dans cette partie isolé de l'hôpital. Je pris une grande inspiration et me forçait à avancer. Amy était doucement face à au mur vitré, une main posé contre la vitre et le visage rempli d'émotions.

- Tu te sent assez forte pour entrer? Demandais-je en me forçant pour ne pas regarder Nikita.

Nous entrèrent en silence, même si Nikita ne nous entendrait pas. Il avait l'air étrangement paisible et jeune endormi comme ça. Je pouvais presque m'imaginer ce à quoi il avait eu l'air lorsqu'il était enfant. Je m'assis au pied de son lit et réalisais que même s'il était imposant et qu'il donnait l'impression d'être un roc, il était sans doute plus humain que nous tous.

- Je déteste le voir comme ça...ce n'est pas lui. Dis-je tout bas.

C'était à peine si je le reconaissais étendu là. Je soupirais et me détournais, j'avais de la difficulté à le regarder.