Honey baby, sweetie cutipie, sugar. (Amy)

Je souris lorsqu'il accepta. Nous sortons donc du gymnase et longeons les couloirs du laboratoire avant d'ouvrir les grandes portes vitrées menant à l'extérieur. Je regarde le stationnement et hausse les épaules alors que je descend les escaliers.

- En fait, j'ai laissé ma voiture chez moi. C'est une amie qui m'a apporté au labo. On va devoir marcher.

Comme toujours, la température était chaude, très chaude pour une soirée. Heureusement, il y avait aucun vent ce soir. Nous marchions tranquillement en parlant de tout et de rien. J'appréciais bien Andy. Il était charmant comme personne. Bon, du moment qu'il avait la chance, il volait quelque chose aux passants et je devais constamment lui demander d'arrêter, mais sinon il était charmant. Vraiment. En arrivant près de la plage, je rangea mon cellulaire dans mon sac pour ne pas répondre aux appels de Nikita ou aux textos de Madison.  Je dépose mon sac dans le sable et enleva mon chandail pour ne garder que ma brassière de sport. Je n'étais aucunement timide sur ce point. La seule chose qui me rend mal à l'aise c'est mon énorme cicatrice sur mon homoplate. Merci papa.

- Jespère que tu n'as pas peur de te mouiller.

Je hochais la tête doucement et commençais donc à marcher. J'avais beaucoup trop de plaisir à marcher sur le trottoir en compagnie d'Amy, c'était presque comme si j'étais libre de nouveau...enfin sauf pour le bracelet attacher à me cheville. Je m'amusais à voler les passants qui passais trop près de moi, je me retrouvais avec un paquet de gomme, un bracelet, deux bagues et un porte feuille. Amy bien entendu en bonne agente du CSI me demanda d'arrêter et je décidais de l'écouter, elle pouvait tout aussi facilement demander à Volkov de venir me chercher et je serais sans doute tué par ma gardienne. La plage était presque déserte, je n'aimais pas vraiment me baigner dans des grandes étendues d'eau, j'aimais mieux les piscines, moins de risque de noyade.

- Pas exactement. Dis-je, le bracelet que j'avais à la cheville m'empêchais de me baigner.

Je m'assis dans le sable et retirais mes souliers, je me couchais confortable et observait le ciel. J'étais bien sur la plage, j'y avais passé toute ma vie avant de décider de m'aventurer du côté criminel.

- Tu es né ici? Demandais-je soudainement.

Je baisse le regard vers sa cheville et je vis son bracelet électronique. Je reporte mon regard vers lui avec un sourire amusé.

- C'est pour ça que Nikita n'arrive pas à te trouver. Tu as désactivé ton bracelet. Clever. 

Il me dit qu'il n'aimait pas vraiment. Enfin, qu'avec le bracelet, il ne pouvait pas aller dans l'eau. Je me penche et regarde le bracelet. Je me redresse et lui souris.

- La police ne t'aurais jamais donné un bracelet qui ne va pas dans l'eau si tu es prit avec jusqu'à la fin de ton bail. Alors il n'y a pas de problème.

Je lui tends la main pour le lever. Il n'allait pas me laisser aller dans l'eau seule. Je l'aide à se lever et me dirige tranquillement dans l'eau, jusqu'au genoux en répondant à sa question.

- Non. En fait, je suis italienne. J'ai grandi une partie de ma vie là-bas et une certaine partie de ma vie ici. Ma mère est américaine et elle a marié mon père, qui lui est italien. J'ai décidé de revenir m'installer ici pour ...la sécurité, si je peux dire ca comme ca.  Alors je n'étais pas trop dépaysée.

Les vagues venaient frapper nos jambes doucement. Je me penche légèrement vers l'avant et laisse mes mains se faire frapper par celles-ci.

- Et Toi Andy? Qu'est-ce que tu fais à Miami a part le fait que tu sois informant criminel.

Je lui fis un grand sourire lorsqu'elle se rendit compte que mon bracelet était désactiver et que j'étais donc au yeux du CSI introuvable.

- Merci. Souris-je

Lorsqu'elle me dit ce que je soupçonnais déjà, je ne pu m'empêcher un petit soupire, mais j'acceptais la main qu'elle me tendis. J'essuyais mes pantalons faisant tomber le sable qui s'y trouvait avant de les enlever et de mettre mon chandail par dessus. Elle s'immergea jusqu'au genoux et je la suivis le cœur serré. L'eau me fit frissonner, pas de froid, mais de nervosité. Je ne faisais pas confiance à la mer. Je posais les yeux sur l'endroit où le ciel et la mer se mélangeaient. Il y avait longtemps que j'avais été à la mer. Amy m'appris qu'elle était Italienne et je souris sincèrement.

- C'est un très bel endroit, j'y suis allé pour...visiter. Dis-je en fronçant les sourcils, je n'étais pas certain de sa réaction si je lui disait que j'avais été en Italie pour voler la collection privée d'une riche famille.

Puis, elle me demanda un peu d'informations sur moi.

- Mon père était marin, nous avons déménager en Nouvelle-Orléans quand j'étais gamin. Je me suis retrouvé ici parce qu'une de mes amies voulait me faire visiter sa galerie d'art. Elle est morte le lendemain et c'est moi qu'on a accusé.

L'Italie, un lieu adorable à visiter? Je préfèrerais mourir plutôt que d'aller en Italie pour le plaisir.  Je laisse échapper un petit rire amer contre ma volonté. S'il aimait l'Italie, c'était bien pour lui. Pour ma part, c'est mon enfer.

- J'imagine que ça dépends de l'histoire que nous avons.

Je l'écoute parler un peu de lui. Son père était marin? Je l'observe discrètement et remarque qu'il n'a pas du tout l'air à l'aise avec l'eau. Je me tourne vers lui. La mer me calmait. Elle me rendait pensive et me permettait de relaxer. Je fronce les sourcils lorsqu'il me dit la raison pour laquelle il avait été arrêté.

- Laisse moi deviné, tu as été le dernier à la voir et ils croient tous que tu l'as tuée?

Je me demandais ce qui se cachait derrière l'indifférence d'Amy face à son pays. Cela ne me concernait pas, mais je sentais que quelque chose d'important ce trouvait là. Je me forçais à ne pas sursauter chaque fois qu'une vague frappait mes jambes. Il y avait longtemps j'aurais sans doute adorer me retrouver dans l'eau, mais plus maintenant.

- En effet, ce doit être différent pour tout le monde. Répondis-je en essayant de comprendre si elle s'ennuyait de son pays ou si elle souhaitait s'en éloigner le plus possible.

J'eu un sourire amer, Amy avait tout deviné. Natalie Rousey, une artiste et bonne amie venait de se marier, d'acheter une galerie d'art et elle m'avait invité à venir la visiter. J'y étais aller et elle m'avait montrer certaine de mes pièces qu'elle avait accrochés sur ses murs. Elle ne s'était pas marié par choix, mais comme elle venait d'une famille riche on l'avait pousser dans les bras d'un homme qu'elle n'aimait pas. Je ne mentirais pas, nous étions plus qu'amis. Elle était morte le lendemain et comme à mon habitude j'étais entré dans sa galerie pour voler une petite sculpture de chat fait en améthyste. J'avais trouver le corps sans vie de Natalie en même temps que la police et comme Interpol, le FBI, la RCMP, le DEA et la CIA me recherchaient on m'avait arrêter. Puis ensuite accusé du meurtre de Natalie.

- Tu as tout deviné. Souris-je. Je ne lui voulais aucun mal, elle et moi nous étions des amis...enfin avec bénéfice, mais amis tout de même. Je ne suis pas un tueur.

Peut-être qu'Amy saurait entendre raison?

Je continue d'observer Andy. Je vis qu'il se forçait pour ne pas sursauter à chaque fois qu'une vague faisait son entrée. Je fronce légèrement les sourcils de curiosité et me rapproche de lui. Je me place devant lui pour empêcher les vagues d'être trop fortes contre lui.

- Je n'aime pas être indiscrète, mais tu ne sembles pas vraiment apprécier l'eau et ses vagues..

Je lui fis un sourire chaleureux. Je ne voulais pas le brusquer ni le forcer a parler, mais il aurait pu me dire qu'il n'aimait pas l'eau ou la mer ou ce qui se trouvait dedans. Par exemple, la fois ou j'avais proposé à Nikita, il m'avait lancé un non catégorique. Bon, cela ne m'avait pas vraiment empêchée de le pousser dans ma piscine, mais le point est que je ne suis pas une personne cruelle lorsqu'il s'agit de ne pas brusquer les gens sur leur insécurité. Je continue à avancer de reculons  plus profond dans l'eau. Lorsque celle-ci mouilla complètement mon short, je me tourne dos à lui et plonge dans les profondeurs de la mer. Je ressortis quelques secondes plus tard en me passant les mains sur le visage et dans les cheveux. Mes shorts me collaient à la peau et mon soutif de sport aussi.  Heureusement, je ne portais pas de blanc. Je lance ma tête vers l'arrière pour enlever mes cheveux de mon visage avant de reporter mon regard vers Andy.

-Tu as déjà tiré?

Je savais que j'avais été moins que subtil, oui j'avais peur de l'eau, enfin, lorsque c'était la mer, ou une rivière, quelque chose de gros, une piscine ne me dérangeait pas du tout. Face à quelque chose d'incontrôlable comme la mer, c'était une autre histoire entièrement. Je savais qu'Amy ne voulait pas mal faire, mais je ne la connaissais pas beaucoup, je ne voulais pas tout lui dévoiler comme ça.

- Je ne suis pas fan de la mer, c'est vrai. Avouais-je. Traumatisme d'enfance. Tentais-je de plaisanter.

Je l'observais disparaître sous les vagues et l'enviait, elle pouvait se relaxer dans la mer, comme je l'avais fait lorsque j'étais gamin. Je m'ennuyais de pouvoir aller nager chaque matin, sans avoir peur d'être emporter par les vagues comme mon père. Elle remonta à la surface et m'observa avec curiosité et me demanda si j'avais déjà tiré, par là, je supposais qu'elle voulait dire, utiliser un fusil.

- J'ai grandi aux Etats-Unis ma chérie, demande moi si j'ai fais de la cocaïne à la place. Levais-je les yeux au ciel. Oui j'ai déjà tiré.

J'étais nettement plus dans mon élément lorsque l'on parlait d'art pourtant.

Je me contente hocher la tête lorsqu'il me dit vaguement la raison pour laquelle il n'aimait pas vraiment l'eau. Je lève la tête vers le ciel ou il y avait énormément d'étoiles. Un peu plus et on pouvait y voir des étoiles filantes. J'eus un petit sourire. Xavier aurait adoré une journée comme celle-ci. J'eus un petit soupire triste en pensant à Xavier. J'avais toujours mal lorsque je pensais à lui, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Après plusieurs minutes, nous finissons par sortir de l'eau. On retourne là ou nous avions laissé nos affaires. Je m’assois directement dans le sable et ramène mes genoux à ma poitrine.  Je lui jete un regard amusé lorsqu'il me répondit avec du sarcasme.

-Oh mon chou si seulement tu savais a quel point tu ne ressemble pas du tout à un tireur. #sorraynotsorray

Je lui souris. S'il voulait la jouer au sarcasme, je n'avais aucun problème avec ça. Je finis par regarder l'heure. Je sors un elastique de mon sac et attache mes cheveux en toque lousse.


- Je dois partir. Demain j'ai un interrogation avec Nikita. J'imagine qu'il va s'avoir calmé d'ici là.


Je me lève et prends mon sac. Puis je souris à Andy en lui tendant la main pour lui serrer.


- Au fait, si jamais tu entends Nikita parler de... quelque chose qui ne semble pas très normal, tu peux me prévenir? C'est pour.. euh.. une "évaluation"

En fait non, ce n'était pas du tout une évaluation, mais c'était pour essayer de comprendre un peu plus Nikita. Il était un ami proche et un partenaire, mais je tenais tout de même a le déchiffrer plus que cela. Et je sais bien qu'il ne le ferait pas de son plein gré.

Je fus soulager de sortir de l'eau et me laissais tomber dans le sable. Il était chaud et c'était confortable, sauf pour la brise qui s'était levée. J'éclatais de rire lorsqu'elle me dit que je n'avais pas l'image d'un tireur.

- J'espère bien que non! Souris-je en appuyant ma tête contre mes bras. Je suis un artiste, mais pas un cowboy ni un sniper.

Je l'observait se lever, elle prit son sac et je compris qu'elle s'apprêtait à partir, donc je me levais et me rhabillais. J'espérais honnêtement que Volkov c'était calmé sinon je passerais un très long et lourd quart d'heure. Puis je me tournais curieux, un petit sourire au coin des lèvres. Quelle genre de demande est-ce que c'était? Elle voulait que j'espionne ma gardienne enragé?

- Tu veux que je l'espionne? Demandais-je.

Je levais les sourcils impressionné, cette fille avait du courage.

- Je verrais ce que je peux faire. Dis-je. Bonne chance pour cette interrogation, en espérant qu'il ne brise rien cette fois-ci.

Je hausse les épaules comme si c'était quelque chose de tout à fait normal. Sauf que ce ne l'était pas. Je ne peux pas non plus lui avouer la raison pour laquelle je voulais qu'il l'espionne. C'était personnel à Nikita et s'il veut lui dire, il lui dira. Je ne vais pas brimer cette liberté et sa vie privée. Quoi que je l'ai su de force la véritable identité de Nikita MAIS LÀ N'EST PAS LE POINT BON.

- ahh arrête! Dit comme ça sa sonne comme une mauvaise chose. Je ne veux pas que tu l'espionne à proprement dit. Je veux juste que... euh... tu l'observes discrètement et que tu m'appelles s'il est bizarre? 

Andy allait surement passé la majorité de son temps avec Nikita. Alors il allait être capable d'entendre des choses ou de voir des choses innabituelles chez Nikita. Et ça me permetterait de comprendre un peu plus la mentalité de Nikita tout en s'assurant qu'il ne renvoit pas d'autres informations en Russie parce que la dernière fois, ça avait vraiment mal viré. Je lui souris et lui dis aurevoir tout en marchant vers ma maison qui n'était vraiment pas loin. Peut-être un cinq ou dix minutes de marche maximum.

...

Quelques jours plus tard, je suis seule dans le laboratoire d'armes à feu. J'étais seule, il était tard le soir. Il ne devait rester qu'Horatio enfermé dans son bureau et le concierge qui nettoyait les plancher. Je venais a peine de finir des rapports de mission que je rangea le tout dans les filières. J'allais prendre mon sac, mais croisa le regard du minuscule stand de tire amménagé pour nous et pour les expériences d'évaluation de balles et d'impacts de balles. Je déposa mon sac et alla dans la pièce.  Je pris un pistolet eagle et ne prit pas la peine de mettre les lunettes et les caches-oreilles pour me protéger. Je regardais l'arme en déglutiant (stu un mot?). Depuis l'évènement avec Xavier, chaque fois que je tentais de tirer avec un arme, je tremblais beaucoup trop et manquait ma cible. Je n'avais mis personne au courant, encore moins Nikita. Il était à bout de nerf à cause d'Andy alors je ne voulais pas qu'il se mette a s'inquiété de sa ou qu'il se mette dans la tête à m'apprendre a tirer a cause du traumatisme.  Je pris une respiration et pointa la cible devant moi. Je me sentis commencer à trembler et soupira bruyamment en déposant brutalement l'arme sur le comptoir.

Je me dirigeais vers la balistique en silence, les mains dans les poches, A,y m'avait demandé de surveiller/espionner/observer/étudier Volkov et j'avais tenu ma promesse, je n'avais appris rien d'intéressant sauf qu'il devenait aussi doux qu'un ours en peluche lorsqu'il s'occupait de son minuscule chat et qu'il aimait beaucoup trop l'activité physique. J'avais cependant réussi à voler son téléphone alors qu'il était au douche. J'entrais dans la balistique sans frapper et observait Amy tirer un long moment avant de soupirer.

- Est-ce que tu compte tiré encore longtemps? Demandais-je

Elle sembla surprise de me voir et déposa le fusil qu'elle avait dans les mains.

- J'ai fais ce que tu m'avais demander, je l'ai observer toute la semaine, rien d'étrange, mais j'ai réussi à mettre la main sur sa...Dis-je en brandissant le cellulaire de Volkov. Si sa t'intéresse.

Je m'assis sur le bureau de Volkov qui était étonnamment ment bien rangé contrairement à celui d'Amy.

Je me retourne vivement lorsqu'Andy apparut dans le bureau. Je laisse l'arme sur le comptoir et va le rejoindre. Je le regarde s'asseoir sur le bureau de Nikita et jeter un regard étrange vers mon bureau. Je m'approche et prend le téléphone qu'il me tend en m'asseoyant en indien sur mon bureau bordélique.

- Quoi? C'est pas parce que je suis une fille que tout est bien rangé.

J'ouvre le téléphone de Nikita. Un vieux Nokia noir mais qui parait gris en raison de l'usure. L'écran s'Allume mais je soupire immédiatement. Il fallait que je m'attends à ce que son téléphone soit programmé en russe. Il parlait anglais mais s'il a la chance, le russe est sa première option. J'essaye tout de même de naviguer au travers des menus. Je réussi à trouver ce qui semble la liste des appels effectué et recu. Je regarde et le même numéro revient plusieurs plusieurs fois. Je fronce les sourcils et prend un papier qui trainait et un crayon pour inscrire le numéro. Je me sentais malhonnete envers Nikita, mais je voulais savoir qui n'arrêtait pas de l'appeler. J'entendis des bruits de pas rapide venant du couloir. Je ferme rapidement le téléphone comme il était avant et le lance à Andy alors que je range la feuille dans ma poche.

J'haussais les épaules en signes de soumission.

- Je n'ai rien dis. Dis-je en souriant.

observait un long moment fouiller le téléphone en murmurant et en soupirant. Elle fouilla sur son bureau pour y pêcher un crayon et un bout de papier, nota furieusement des numéros et je ne pus m'empêcher de me demander ce qu'elle voulait tant savoir à propos de Volkov. D'après ce que j'avais compris, il n'avait pas d'amis. Elle savait que je parlais russe non? Après un autre très long moment je réalisais que non. Je soupirais et lui souris alors qu'elle reposa le téléphone sur son bureau. J'espérais qu'elle ne le perde pas dans se fouillis.

- Tu sais... Si tu as besoin de quelqu'un pour traduire... Je parle couramment Russe.

À voir son expression surprise, j'aurais dû partager cette information dès le début.

J'ouvris la bouche lorsqu'il me dit qu'il parlait le russe. J'allais répondre quelque chose mais je ne trouva rien à dire. Alors je la referma. Je me lève et lui redonne le téléphone.

- Normalement, tu donnes cette information avant que je me casse la tête à chercher dans le téléphone d'un russe.. Mais merci.

Je lui laisse le téléphone et retourna dans le coin de tire. Je regarde l'arme en soupirant et décide de le prendre dans ma main gauche. Je me sentis tout de suite très nerveuse et ma main se mit à trembler. Je me mordis la lèvre d'abandon. Je n'allais jamais arriver à tirer si je n'arrivais pas à me calmer avant de prendre un arme et pendant. Je soupire et m'accote contre le mur. Je regarde Andy qui me regarde curieusement. J'espérais seulement qu'il n'ait pas remarqué ma nervosité avec l'arme. 

- Au fait... ou as tu trouvé son téléphone? Il le garde constamment sur lui et personne ne peut y toucher.