High voltage when we kiss (Amy bae)

Lorsque Amy décida de me laisser choisir le film, je me mordis la lèvre. Je n'avais aucune idée de ce que j'avais envie d'écouter. Je pris la manette et commençait à fouiller Netflix pour quelque chose qui me plaisait et qui plairait aussi à Amy. Je choisis After Dark et pris une poigner de Gummie Bears. J'avais réalisé qu'Amy m'observais différement depuis que j'étais aller me changer et je me demandais ce que j'avais bien pu faire. Ses yeux étaient plus brillant et elle me regardait comme si elle désirait quelque chose. Le film commença et j'essaya de me concentrer sur l'histoire, mais Amy me distrayais, elle était appuyé contre mon épaule et à certain moment, elle détournait le regard de la télévision et me fixait. Je pris une gorgée de bière et une autre poignée de Gummie bears. Je mis le film sur pause et me tournais vers Amy, assis en indien.

- Tu me regardes d'une drôle de façon tout d'un coup...Dis-je

Je ne savais pas trop comment lui expliquer comment cela me faisait sentir, d'un côté cela me faisait monter le rouge au joue et de l'autre je me demandais si j'avais fais quelque chose que je n'aurais pas dû faire. Je baissais les yeux et souris.

- Comme si...tu voulais quelque chose...je ne sais pas...

Je léchais mes lèvres et passais une main dans mes cheveux toujours humide de la douche. Je haussais les épaules.

- Est-ce qu'il y a quelque chose que tu désir...si c'est en mon pouvoir je te le donnerais...je te donnerais n'importe quoi.

Peut-être que je faisais une montagne pour un rien...

Je fronce légèrement les sourcils lorsque je vois la télé se mettre sur pause. Je tourne la tête alors que je vois Nikita se décoller de moi pour s'asseoir en indien pour me regarder. Je baisse le regard vers mes mains lorsqu'il me fit remarquer que je le regardais étrangement, comme si je voulais quelque chose. Si seulement j'osais le dire. C'était étrange. Il était le premier à avoir manifester le fait que nous devrions passer à l'autre étape. Et plus que j'y pensais, plus que je ressentais cet envi aussi. Je me mordis la lèvre. 

-Enfin... je... 

Comment pouvais-je formuler cet envi qui grandi en moi? Je veux dire, je n'ai jamais rien expérimenté de tel et maintenant nous allions surement, le faire. Enfin, je me force à clarifier mes pensées. Il fallait que nous en parlons. Nous en avions vaguement parlé, mais maintenant, c'était un sujet très important et très sérieux. C'était quelque chose qui était naturel et que nous devions comprendre et accepter chacun de notre côté. Je soupir en me passant une main dans le visage. Allez Amy, ce n'est pas si compliqué d'exprimer ce que l'on ressens. Je veux dire tu as déjà fait des choses pires que ça! Je me place face à Nikita et me mis sur mes genoux, mes fesses accotés contre mes talons.  Je me jouais nerveusement avec les mains. Cette journée était réellement l'une des plus étrange que j'avais vécue jusqu'à maintenant. Je lève les yeux vers Nikita avant de les baisser légèrement. 

- Je, écoute, je n'arrête pas d'avoir ce feeling dans mon ventre et ca me donne des frissons et je ne sais pas réellement ce que c'est. Je veux dire, C'est peut-être parce que ces nouveau, mais je, j'en ai envi. Je le veux. Je veux dire... je, j'ai envie. De toi. 

Je soupire de malaise et me lève de sur le divan. Je me sentais étrange. Je ne sais pas si c'était les bières, ou la chaleur dans le bas de mon ventre ou encore cette révélation que j'ai finalement sortie avec des mots,  ou tout en même temps. Je me sentais comme une petite fille qui allait se faire gronder, et je me sentais étrange. Je ne sais pas ce qui allait arriver maintenant. Je veux dire, come on! Je venais littéralement de dire a Nikita, à un homme que j'avais envi de lui. Je me retourne lorsque j'entendis du mouvement, mais je fus bloquer par Nikita qui m'embrassa. Je reste surprise sur le coup et je dus m'accrocher à ses bras pour ne pas perdre l'équilibre. Pendant quelques secondes, nous nous regardons dans les yeux un peu pour chercher l'approbation de l'autre et sans rien dire, je plaque ma bouche contre la sienne. Je voulais gouter ses lèvres. Je voulais sentir la chaleur de son corps contre moi.

Un peu mature et explicite....hahahaha très mature just joking

J'écoutais Amy parce que je ne savais pas vraiment quoi dire, nous avions aborder ce sujet seulement aujourd'hui je ne m'étais pas attendu à ce que Amy ait envie de passer la soirée au lit si vite. Mon cœur battait très fort contre mes côtes et je pus m'empêcher sentir mon ventre se remplir de papillons.

J'ai envie de toi. Ces mots jouaient en boucle dans ma tête.

Amy détourna les yeux de moi et je me mordis la lèvre. Une sorte de chaleur se répandit dans tout mon corps et je me rapprochais d'elle, malgré sa gêne évidente. Dans mon enthousiasme, je manquais de la faire tomber en bas du divan, elle dû s'accrocher à mes épaules. Nos regards se croisèrent et je frissonnais à l'intensité des sentiments que je ressentais. Je cherchais dans les yeux verts d'Amy son approbation. Me donnait-elle la permission d'aller plus loin? Elle plaqua sa bouche contre la mienne et je gémis doucement contre ses lèvres. Je posais mes mains contre son cou et l'embrassais avec passion. J'avais l'impression qu'elle pouvait entendre mon cœur battre, il battait si fort que la terre au grand complet pouvait sans doute l'entendre. Je me séparais d'elle doucement et replaçais une mèche de ses cheveux.

- Je te veux aussi Amy. Tellement...

J'embrassais sa joue doucement et souris.

- Toujours...Dis-je. Parfois tu ne fais que te mordre la lèvre et je pourrais tomber à genoux devant toi.

Je descendis vers sa mâchoire et doucement suivait le contour avec ma langue. Je pouvais enfin goûter la douceur de sa peau.

- J'ai envie de toi dans mon lit...

J'embrassais son cou et mordillais sa peau fine, la sentant prendre une grande inspiration.

- Dans ma douche...

Je la rapprochais de moi et fermais les yeux, c'était trop je voulais tout d'elle. Je pouvais sentir son cœur s'emballer contre le mien. Je posais un baiser derrière son oreille et mordillais son lobe d'oreille.

- Dans ma voiture...

Je descendis doucement les mains le long de ses courbes et effleurais le coté de ses seins. J'enfouis mon visage dans son cou, est-ce que tout cela se passait réellement? Est-ce que Amy me laissait réellement la toucher ainsi? Ma respiration c'était accélérer et mes pantalons étaient devenus un peu serrer au niveau de l'entre-jambe.

- Demande moi d'arrêter Amy...si tu ne me dis pas d'arrêter j'aurais envie de continuer et je ne sais pas si j'aurais la force de m'arrêter. Bohze.

Nous n'avions rien fait et pourtant je me sentais près d'exploser d'envie...je ne savais pas si Amy était au courant...mais elle me tenait dans le creux de sa main. Je ferais n'importe quoi pour elle et en se moment...j'allais sans doute mourir de désir.

un peu juste un petit peu de torridité écrite. rien d'alarmant. ---- 


 

non sérieux guys...lisez pas sa en public

Je me mordis la lèvre, elle ne voulait pas que je m’arrête, elle m’autorisait à la coucher dans mon lit et à apprendre les courbes de son corps. Je pouvais sentir la crainte monter en moi…je ne voulais pas qu’elle regrette ce qui se passerait, je voulais qu’elle aime cette expérience. Je la pris dans mes bras et la soulevait, ses jambes s’enroulèrent autour de ma taille et mon cœur rata un battement. Je fis mon chemin vers ma chambre avec Amy dans mes bras. Tout me semblait irréel. Je l’appuyais doucement contre le mur, la tenant d’un seul bras pour ouvrir la porte de ma chambre. Avec toute la délicatesse du monde, je la déposais sur mon lit. Je caressais sa joue doucement et l’émotion me serra la gorge. Personne ne m’avait aimé comme Amy et je n’avais aimé personne comme je l’aimais. Elle tira doucement sur mon chandail pour que je me rapproche. Je me laissais attirer vers elle. Elle gémit faiblement et je sentis la chaleur dans mon ventre s’intensifier. Les mains d’Amy s’insinuèrent sous mon chandail et je fermais les yeux en laissant échapper un petit soupir tremblant. Amy se redressa contre la tête de lit et prononça mon nom avec envie et douceur. Je la laissais m'attirer encore plus près d'elle. Je pouvais sentir presque tout son corps contre le mien. Elle posa ses lèvres contre ma mâchoire et se fut comme un courant électrique dans mon ventre, je serrais les bras autour d'elle et me mordis les lèvres pour ne pas gémir.

- Amy...murmurais-je son nom.

Ses lèvres étaient douces et chaudes contre ma peau et cela me rendait absolument fou. Les mains tremblant légèrement, je passais les doigts sous le chandail d'Amy. Je les passais lentement sur son ventre et le long de ses côtes. Je pouvais sentir la soie de son soutien-gorge et cela me frustrais infiniment, j'avais besoin de toucher sa peau. Je sentais la chair de poule monter sur son ventre et je souris doucement. Elle me laissa lui retirer son chandail. Elle pris mon visage entre ses mains, le bout de ses doigts effleurant mes cheveux. J'étais comme ensorcelé par ses yeux verts, je savais que je n'arrêterais à rien pour cette femme. Tout ce qu'elle voulait je lui offrirais. Je posais mes lèvres sur son cou, je pouvais sentir son pouls contre mes lèvres, peut-être que j'allais trop vite, mais alors que je glissais mes lèvres sensuellement sur son cou, je laissais mes mains descendre le long de son ventre jusqu'à ses jeans. Je caressais ses hanches et lentement me permis d'atteindre le bouton de ses jeans. Elle m'embrassa en plein sur la bouche et je gémis contre ses lèvres. Je me perdis dans le goût de sa bouche et la douceur de ses lèvres. Mon cœur se gonfla d'amour pour elle. Mes mains c'étaient immobilisé sur ses hanches, le bouton de ses jeans ouvert, laissant entrevoir le tissu de ses sous-vêtements. D'une voix un peu rauque, Amy m'appela Superman, sa bouche tout près de mon oreille et les yeux ronds, je la fixais, la bouche entre-ouverte, j'aurais mieux aimer ne pas me souvenir de cet épisode, surtout pas maintenant, mais j'offris à Amy un petit sourire gêné. Je réalisais en descendant de mon petit nuage, que mes pantalons étaient beaucoup serrer pour être confortable, mais cette soirée était pour Amy, je me concentrerais sur elle.  Je posais un baiser lent et passionné sur ses lèvres, mordillant sur sa lèvre inférieur. Je fis mon chemin vers son cou et vis la frustration sur le visage d'Amy de ne plus pouvoir partager de baiser.

- ты сводишь меня с ума. Murmurais-je contre sa clavicule.

Je descendis encore plus bas, détachant son soutien-gorge et prenant avec douceur un de ses seins dans ma main, roulant un de ses mamelons entre mes doigts.

- У вас есть представление о том , как ты прекрасна ?

Je posais ma bouche contre son autre sein et souris en entendant les petits bruits qu'elle ne pouvait pas retenir. La main d'Amy s'aggripait avec force à mes cheveux et cela faisait bouillir mon bas-ventre. J'embrassais sa poitrine et fis mon chemin plus bas sur son corps. Je donnais un coup de langue dans son nombril et posais plusieurs baiser sur sa peau. Lorsque je levais les yeux vers elle, Amy avait les yeux fermés, les sourcils froncés et se mordais doucement les lèvres. Elle semblait figé pourtant. Je me demandais si je brûlais des étapes, si j'allais trop vite à son goût. Elle ouvrit lentement les yeux, elle caressa ma joue et je m'appuyais contre sa main. Elle m'assura que tout allait bien et je lui fis confiance.

- Si tu désir arrêter tu n'as qu'à le dire...Murmurais-je.

Je lui obéirais au doigt et à l'œil. Amy referma les yeux, ses joues rosissant et je la débarassais de ses jeans. Je posais mes lèvre sur l'intérieur de ses cuisses et remontait jusqu'au tissu bleu de  sous-vêtements. Doucement je tirais dessus et les jetais par dessus mon épaule. Je jetais un dernier regard à Amy, je voulais m'assurer encore une fois qu'elle était d'accord avec ce que je faisais. J'écartais ses cuisses et posais ma bouche contre sa féminité. Je laissais ma langue la découvrir. De mes pouces je caressais ses hanches. Les gémissements d'Amy me rendait fou, je souris entre ses jambes et gémis fortement lorsqu'elle tira sur mes cheveux. J'avais tellement envie d'Amy, je frottais mon érection contre le matelas pour trouver un peu de soulagement. J'enfouis ma langue plus profondément en elle. Je ne voulais pas arrêter de la goûter.



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Je laisse échapper un hoquet lorsque je sentis sa langue se poser contre moi. Les frissons que me procuraient des baisers, je pouvais encore sentir le chemin qu'il eut prit pour se rendre à mes jeans, me les enlever et caresser l'intérieur de mes cuisses. Je voulais sentir des mains sur mon corps, sur absolument tout mon corps. J'etais hypnotisée par la douceut à laquelle il se donnait. Nikita n'avait pas été le plus doux des hommes, mais il l'etait dans le lit, avec moi. Un gémissement s'imica entre mes levres alors qu'il commence à m'embrasser l'entre-jambe. Mes doigts se mélangeant a ses cheveux, je me rendis compte que cela etait encore mieux que ce dont javais entendu. Je savais que ce que Nikita me faisais etait apprecié, autant pour la femme, que pour l'homme. Je pouvais entendre Nikita gemir contre moi et cela m'excitait encore plus. Je lâche ses cheveux et descend mes mains sur des fortes épaules. Je voulais sentir sa peau sous mes mains. J'avais besoin de sa chaleur. S'en men rendre comptr, je sentais doucement mes hanches faire des petits mouvement pour rapprocher davantage la langue de Nikita contre mon point de stimulation. Je gemis plus fort que ce que je voulais et aggripa la couverture avec l'une de mes mains. Ce manege se continua plusieurs minutes. J'en voulais plus. Je voulais qu'il me pénètre. Maintenant.

- Nikita. Nikita..

Je tira doucement contre ses épaules pour qu'il se redresse et se rapproche de moi. J'avais, pour seulle envie, me tortiller alors qu'il mettrait son erection en moi. Je l'embrasse dans le cou et sur les epaules alors que je cherche ses jeans avec mes mains. Ils etaient serré. Je pouvais sentir la chaleur de son envi. Je detoubonne son jean et lui descend tout en entrainant ses boxers avec ses pantalons. Je n'etais pas particulierement familiere avec les organes mâles, mais je pouvais savoir qu'il allait me faire atteindre le 7e ciel. Je leve le regard vers Nikkta.

- Make me regret all the time I've wasted waiting.

Ce fut comme une explosion de frisson lorsqu'il entra en moi. Je pouvais le sentir, dur et fort en moi. Il ne bougeait toujours pas. J'avais legerement mal, mais cetait completement normal. C'etait ma premiere fois. Je sentais mon coeur battre dans ma poitrine, nos souffles s'entrecoupant. Je laisse un gemissement sortir de ma bouche alors que je voulais desesperement qu'il me donne un orgasme.

- I love you Nikita.

Je ne pus m’empêcher de sourire contre elle alors qu’elle se mit à rouler les hanches doucement. Ses mains étaient venues se poser contre mes épaules. Je levais les yeux et vis Amy, les joues roses et la bouche ouverte, son dos courbé et ses hanches cherchant ma bouche. Elle s’agrippa à la couverture en gémissant. Ma langue poussait en elle et cherchait les endroits qui la faisait gémir et trembler. Après un long moment je sentis Amy pousser contre mes épaules, sa voix était rauque et l’entendre prononcer mon avec autant de désir me fit rougir. Je me redressais et elle m’attira vers elle. Elle embrassa mon cou et mes épaules, je fermais les yeux et souris.

- J’ai tellement envie de toi… Dis-je en ouvrant les yeux.

Je pouvais sentir ses mains tout contre mon ventre alors qu’elle glissait ses doigts sous la bande élastique de mes boxeurs, elle tira mes pantalons avec mes boxeurs. Elle m’observa pendant un moment, et timidement je lui souris. Je savais que j’avais des cicatrices un peu partout et qu’elle en découvrirait qu’elle n’avait jamais vu encore. Elle leva les yeux vers moi et me demanda de lui faire regretter tout ce temps qu’elle avait perdu à attendre. Je fus incapable de trouver les mots. Je hochais la tête. Doucement je posais mes mains de chaque côté de sa tête et me plaçais entre ses jambes. Je ne voulais pas lui faire de mal, je savais que les premières fois pouvait être douloureuse et je n’avais pas du tout envie d’être responsable de la douleur d’Amy. J’étais sur le point de lui demander si elle était certaine de vouloir se rendre jusqu’au bout, en plongeant mon regard dans le sien, j’eus le souffle couper. Sa poitrine se soulevait rapidement et je pouvais clairement voir dans son regard ce qu’elle voulait. Avec douceur je me poussais en elle, je laissais échapper un gémissement rauque et enfoui on visage dans le cou d’Amy. Son corps était chaud et invitant. Je ne tiendrais pas longtemps si je ne me concentrais pas. Elle était si serré autour de moi que j’avais du mal à penser. Je levais la tête et posais un baiser contre ses lèvres, avalant le gémissement qu’elle ne put contenir.

- Je t'aime aussi Malenk'ii Feyerverk. Est-ce que tu vas bien...je ne veux pas te faire de mal.

Elle hocha la tête en laissant échapper un petit gémissement et m'ordonna de faire quelque chose, je commençais à bouger lentement. Je bougeais les hanches en un va et viens lent, cherchant le point qui ferait voir toute les couleurs de l’arc-en-ciel à Amy. Si je m’écoutais je me plongerais en elle, plus creux et avec plus de force, mais je ne voulais pas la blesser. Je sentis ses mains descendre le long de mon dos et je gémis doucement en rejetant la tête vers l’arrière, je pouvais sentir chaque muscle d’Amy contre moi.

Au moment où les hanches de Amy roulèrent contre les miennes, je jurais en Russe, j'avais du mal à me contrôler, je voulais plus, toujours plus. Lorsque je fus certain qu'elle pouvait en prendre plus, j'accélerais le rythme de me vas et viens, m'insinuant en elle avec plus de force. Chaque gémissements d'Amy me frappait droit au cœur, j'avais la gorge serré et l'excitation montait en moi comme une flèche. Les mains d'Amy caressait le bas de mon dos, ses doigts tremblaient un peu et je ne pus me retenir de désirée que ses mains descendent un peu plus, qu'elle m'aggrippe les fesses et me force à bouger à son rythme. Nous aurions tout le temps du monde pour sa plus tard. Amy s'agrippa à mes épaules et enfoui son visage dans mon cou, sa bouche tout près de mon oreille. Je continuais de bouger en elle, je laissais échapper un petit soupir tremblant alors que je trouvais l'angle parfait. Amy gémis plus fort, j'étais hypnotisé par chaque son qui sortait de sa bouche...je me demandais d'ailleurs à quoi sa bouche aurait l'air sur mon corps, sur ma virilité. Lorsque je l'entendis murmurer mon nom tout contre mon oreille, je laissais échapper un petit gémissement étrangler. Je n'avais jamais entendu mon nom comme ça...
Lorsque Amy atteignit l'orgasme, la senti se resserrer contre moi et je ne pus m'empêcher de laisser mes lèvres s'ouvrir sur un long gémissement rauque. Je la rejoingis dans l'orgasme, continuant mes vas et viens jusqu'à ce que mes bras ne faiblisse. Amy pressa subitement ses lèvres aux miennes et je souris contre sa bouche. Sa respiration était haletante et ses cheveux légèrement humide. Elle eut un petit éclat de rire et ne me dis qu'un mot: wow.

- Это никогда не было ... как что раньше. Murmurais-je alors qu'Amy pressa son front au mien.

Lorsqu'elle s'agrippa à mes cheveux, je gémis doucement, un faible son. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait de moi, je l'aurais laisser faire. Je posais un baiser sur sa joue, je voyais ses paupières se faire lourde, je me couchais à côté d'elle et l'attirait vers moi, passant un bras autour de sa taille. Je n'avais jamais imaginé que faire l'amour pouvais être si bon, si intense. Personne ne m'avait fait sentir comme ça avant...et pourtant c'était loin d'être ma première fois. Je levais la couverture par dessus nos corps. Ils ne nous fallut pas beaucoup de temps avant de sombrer dans le sommeil.


Je me fis réveiller par une porte qui s'ouvrit. J'ouvris les yeux et fronça les sourcils. Le cadran sur ma table de chevet indiquait qu'il était au alentours de 4 heures du matin. Amy dormait toujours ses cheveux brillant doucement sous les rayons de la lune. Je me levais du lit et remis mes boxeurs. J'ouvris la porte de ma chambre doucement, debout dans mon salon se trouvait un homme. Son regard sombre se posa sur moi et je n'eus pas le temps de dire quoique se soit qu'il me sauta dessus, ses jambes s'enroulant autour de mes hanches et me faisant basculer vers le sol. Je me retrouvais avec un couteau contre la joue gauche et un inconnu me plaquant au sol.

- Федоров передает привет. Sourit l'homme.

- Как говорят американцы; fuck you.

L'homme me frappa du revers de la main avec le manche de son couteau. La douleur fut intense, mais brève et je sentis ma lèvre inférieur se fendre. Je donnais un coup de hanche et lui fis perdre le dessus, il se retrouva sur le sol et m'envoya un regard noir. Je pris le couteau qu'il avait échapper et le pointait vers lui.

- убираться отсюда. Dis-je ennuyé.

- Вы знаете, я должен убить тебя ?

- да. Hochais-je la tête.

Il se lança de nouveau sur moi et j'anticipais ses mouvements cette fois-ci, il tenta de me retourner sur le dos et de presser mon visage contre le sol. Nous roulèrent sur le sol et finirent dans l'embrasure de la porte de ma salle de bain. J'entendis Adelina miauler de douleur lorsque mon attaquant la tassa de son chemins d'un coup dans le corps. J'enroulais mes jambes autour de son cou et lui rompis le cou avec les muscles de mes cuisses.

...maintenant j'avais un homme mort dans ma salle de bain.

Je me levais et trouvais Amy derrière moi. Je me levais, essuyais le sang de ma lèvre fendue et haletant jetait un coup d'œil à l'homme sur le sol.

- S'en est devenu ridicule. Dis-je tout bas. Je t'avais dis qu'ils essayeraient de m'éliminer, c'est le troisième assassin en 1 mois.

J'allais devoir appeler Horatio concernant l'homme qui gisait dans ma salle de bain. Je levais les yeux vers Amy et à ses pieds tout près je vis une boîte mauve et fushia. Celle que Andy m'avait ...généreusement offert.

Oh non. Non. Non non non! Non!

Je levais de grands yeux paniqué sur Amy. Elle pouvait tomber enceinte à cause de mon erreur! Nous étions constamment en danger de mort et nous ignorions tout de comment être une famille normale. Je serais la pire chose qui soit pour un bébé. Je passais une main dans mes cheveux, me dirigeais vers mon salon et jurais en Russe et enfoui mon visage dans mes mains. Est-ce que j'avais été distrait à se point? J'entendais Amy qui me parlais, mais tout ce qui occupait mon esprit c'était ce mot: non. Non! Oh dieu du ciel! Je m'assis sur le sol, fixant mes pieds. Lorsque Amy se pencha devant moi je voulus immédiatement m'excuser. Elle me demanda se qui n'allait pas...excepté l'entrée par effraction d'un homme chargé de me tuer, bien évidemment.

- Amy...je n'ai pas mis de condom. Dis-je la voix étranglée.

..

Je me blotti dans les bras de Nikita suite à nos ébats amoureux. J'étais épuisée et si bien en même temps. Je ne pouvais m'empêcher de chercher la chaleur de son corps. Il installa la couverture au dessus de nos deux corps et je m'endormis rapidement dans ses bras.  Il n'y a absolument rien qui pourra enlever le bonheur que je ressentais à ce moment même. Durant mon sommeil, je rêvais de plusieurs choses. C'était des images qui venaient par bride et qui partaient aussi vite. Des images d'une maison, de vent qui passait dans les branches d'un arbre en plein été. Je voyais aussi des pieds marcher dans le sable chaud d'une plage et le bleu azure de l'océan. À quelques moments, je cru également voir une voile d'un bateau, un voilier et les rayons de soleil qui frappait sur l'horizon. Mes rêves étaient tous très calmes et très reposants. Un peu comme si je flottais sur un nuage. Je pouvais sentir, malgré mes rêves, la présence de Nikita à mes côtés et cela me rassurait énormément.

Très tôt le matin, je me réveillais légèrement. J'avais une impression de vide près de moi et en ouvrant faiblement les yeux, je remarque rapidement que Nikita n'était plus couché avec moi. Je me redresse doucement, tenant la couverture contre ma poitrine et me frotta les yeux. Je regarde autour, dans sa chambre et je ne le voyais nul part. Alors que je me réveillais légèrement, davantage,  je réalisa que j'entendais des bruits, des voix. Je fronce légèrement les sourcils et tendis l'oreille. Ce n'était pas de l'anglais. C'était du russe. Je tourne le regard vers la porte entrouverte. Je me pencha pour ramasser mes vêtements et mit mes sous-vêtements avant de prendre le premier chandail que je trouvais qui s'adonna être le chandail de Nikita. Un vulgaire t-shirt noire à manches courtes. Je me lève et m'approcha doucement de la porte entrouverte. Je la pousse du bout des doigts et je vois Nikita coucher sur le sol, tenant un homme avec ses cuisses. J'allais ouvrir la bouche, mais je vis Nikita casser le cou trop facilement avec ses jambes. Je ferme les yeux en détournant le regard pendant quelques secondes. Je détestais toujours être témoin d'un acte de la sorte, même venant de Nikita. J'ouvre les yeux et m'approche de Nikita sans faire beaucoup de bruit. Je me tenais le bras avec une de mes mains et de l'autre, je plaça une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.  Je le regarde se relever et essuyer le sang de sa lèvre qui était fendue. Je secoue la tête, ne sachant pas comment réagir. 

- Comment vas-tu expliquer à Horatio qu'il y a un mec mort dans ta salle de bain? Je veux dire... il va falloir que tu trouves une bonne raison pour ça. 

Je voulais lui dire qu'il fallait faire quelque chose. Il fallait avouer à Horatio que Nikita était pourchasser par des assassins russes à tout heure de la journée et même de la nuit maintenant. Que cela le mettait en danger ainsi que nous-même. Ce n'était seulement pas le temps. Nous allions devoir dealer avec cet homme mort, avec Horatio et la possible enquête qui allait suivre. Je tourne la tête pour regarder l'heure de mes yeux fatigués. Il était à peine 4 heures du matin. Je tourne mon regard pour le regarder et je vis une soudaine panique dans ses yeux. Je fronce légèrement les sourcils. Je ne crois pas avoir déjà vu Nikita paniqué, mais c'était bien spécial. On aurait dit un jeune homme qui avait été prit à faire quelque chose de mal. Je le regarde se lever et se diriger dans son salon en disant quelque chose en russe. Je le regarde aller sans savoir quoi faire. Il paniquait peut-être à cause de l'homme?

- Nikita, ça va bien aller. Horatio va comprendre. Il va trouver une solution pour ne pas qu'il y ait d'enquête ou.. ou je ne sais pas. Mais il faut... 

Je le suivis, mais je voyais bien qu'il ne m'écoutait pas vraiment. Je le regarde se pencher et s'asseoir sur le sol. Je fronce les sourcils et m'approche de lui pour me mettre à genoux face à lui. Je pose doucement une main contre son genoux et attends qu'il me dise ce qui n'allait pas. Je commençais à être inquiète.  Je fronce légèrement les sourcils lorsqu'il m'avoua qu'il n'avait pas, que nous n'avions pas utilisé de préservatif la veille. J'ouvris la bouche pour répondre, mais je ne trouvais pas du tout quoi dire. En fait, j'étais sous le choc parce que c'était vrai. Aucun de nous deux n'avais pensé à ce détail TRÈS IMPORTANT. Je cligne des yeux quelques fois pour essayer de ne pas avoir de vertige à cette révélation. Je ne me sentais plus bien soudainement. Je voyais légèrement flou, et du respirer lentement pour ne pas paniquer.  Je me relève doucement sans regarder Nikita et prit des respirations pour ne pas paniquer. Il paniquait déjà et si je me mettais à paniquer également, cela ne pourrait que mal aller. L'homme dans la salle de bain de Nikita était maintenant le dernier de mes soucis. Je marche quelques pas pour trouver mon air. Enceinte. C'était le seul mot qui me venait en tête en cet instant. Bébé. Maman. Papa. Famille. BÉBÉ. Non. Non. Cela ne pouvait pas ce passé. Je n'avais même pas encore fait complètement mon deuil de Xavier. C'était la dernière chose que je voulais me retrouver enceinte. Nikita n'était pas le genre de personne à vouloir une famille. Il pourrait simplement partir sans donner de nouvelles. Je veux dire, il n'aurait pas d'obligations quelconques envers un enfant. Cela serait ma complète responsabilité. J'eus un frisson tout le long de ma colonne. MERDE! Je fronce les sourcils vers la salle de bain. 

- Appelles Horatio pour lui. dis-je en pointant l'homme couché du menton. C'est le plus important. 

Ma voix se brisa quasiment mais je réussi à rattraper le coup. Je marcha jusqu'à la chambre de Nikita pour me changer. Une fois faite, je pris mon sac. Je ne voulais pas partir, mais puisqu'il allait appeler Horatio, je ne pouvais pas me trouver dans son appartement. Cela briserai notre secret et l'un de nous, ou les deux auraient de gros problèmes avec le lieutenant. En même temps, je pris cela pour une excuse pour partir également, mais cela je n'allais pas le dire à voix haute. J'avais besoin de prendre l'air, de réfléchir et de pleurer, seule. Cela ne m'avait pas arrêter d'aimer Nikita. Au contraire, je l'aimais plus que tout, mais s'il arrivait ce qui allait peut-être arriver, je ne sais pas ce que je ferais. Et j'aurai besoin d'être reposée et d'y avoir réfléchis, seule. Je laisse échapper un soupire tremblant alors qu'il s'approchait de moi. Je met doucement ma main sur son bras. Je dépose un baiser rapide contre sa joue.

-Horatio va être furax s'il me voit ici. 

J'essaye de lui sourire sans grand succès. Ce n'était pas seulement de sa faute. J'aurais du y penser également. Nous n'avons pas été prudents, tout les deux. Il n'avait pas à prendre tout le blâme. Intérieurement c'était la panique. Normalement je serais allé chez Andy puisqu'il savait quoi faire lorsque je paniquais excessivement, comme la fois ou Nikita avait faillit mourir, mais cela allait être trop gênant autant pour moi que pour lui. Je sortis de l'appartement de Nikita et me dirigea vers ma voiture pour me mettre en route et retourner chez moi. Une fois à la maison, je ferme ma porte d'entrée et me laisse glisser, le dos collé contre celle-ci et éclata en sanglot. Il faisait toujours noir, et le silence régnait dans ma maison. Seuls mes sanglots  brisait se doux silence. Qu'allais-je faire? Je ne pouvais pas élever un enfant. J'étais déjà une mère indigne avec Xavier. Je n'étais pas prête à ça, pas du tout.

Amy pris quelque pas pour s'éloigner de moi et je passais une main sur mon visage. Ma vie était trop dangereuse pour un enfant. Amy me faisait dos et semblait anormalement calme, fermé. Je n'arrivais pas à déchiffrer ce qu'elle ressentait. Elle me dit d'appeler Horatio, de m'occuper du corps mort qui occupait ma salle de bain. Sa voix se brisa sur le dernier mot de sa phrase et je ne pus m'empêcher de ressentir une vague de culpabilité.

- Amy...Je suis désolé.

Elle s'éloigna vers ma chambre et je levais les yeux au ciel. Tout ce que je demandais c'était un peu de normalité. Juste un peu! Je l'observait s'éloigner et mon cœur se serra. J'avais fais une erreur monumentale. Je soupirais et appuyais mes coudes sur mes genoux. Je me relevais au moment ou Amy sorti de ma chambre, je décidais de m'approcher. Elle posa sa main sur mon bras comme pour mettre de la distance entre nous et déposa un baiser sur ma joue. Elle avait ramassé ses choses et semblait ne vouloir qu'une chose...partir. Je ne la retiendrais pas si elle ne voulait pas rester. Je l'aimais trop pour sa. Elle m'expliqua en vitesse qu'Horatio nous ferait la peau s'il la découvrait ici. Je soupirais, mais hochais la tête. Elle sortie de chez moi et je ramassais mon téléphone sur la table à café. Je composais le numéro d'Horatio.

- J'ai essayé de te rejoindre toute la soirée Volkov et tu appelles maintenant? Demanda Horatio excédé.

- Il y a un homme mort dans ma salle de bain. Dis-je d'un ton neutre.

- Dieu du ciel...et je suppose que tu l'as tué?

- Il a essayé de me tuer en premier! Dis-je insulté, ce n'était pas le moment de me contrarié.

Horatio fut silencieux a l'autre bout du fil. Il lâcha un long soupir.

- Ton pays persiste à essayer de te tuer? Demanda Horatio.

- Mouais.

Une demi heure plus tard, mon appartement fut envahis par une équipe de nettoyage. Je trouvais Adelina sous la table de cuisine, boitillant et faisant des petits bruits de douleur. Je soupirais la pris dans mes bras. L'une de ses pattes semblait enfler. En me battant tout a l'heure je me rappelais vaguement que l'homme avait frapper Adelina...peut-être que je devrais l'emmener chez le vétérinaire? Je pris donc ma voiture et conduisit jusqu'à la clinique vétérinaire la plus proche. On me laissa savoir que la patte avant droite d'Adelina était fracturée. Je payais une somme incroyable pour que mon minuscule chat se fasse faire un petit plâtre. Je n'avais pas trop envie de retourner chez moi, mais j'y retournais tout de même. Je m'assis sur le divan et observait le soleil se lever en compagnie d'Adelina.

- Qu'est-ce que je vais faire Adelina? Soupirais-je. Je serais un père affreux...

Adelina m'observa de ses grands yeux verts et j'eus envie de pleurer, comment prendrais-je soin d'un enfant quand je n'arrivais pas à prendre soin de moi? Je n'avais pas eu de famille depuis des années, je ne saurais pas être le père d'un enfant. J'allais échoué lamentablement cet enfant! ...s'il y avait un enfant. S'il fallait que je sois comme mon père je ne serais pas capable de vivre avec moi-même. Et si Amy m'en voulait? C'était sa première fois et tout d'un coup elle devait s'attendre au pire. Avec toute l'histoire de Xavier, je venais de lui jeter un immense fardeau dans les bras. Tout ce que je savais faire c'était tué, je n'avais rien à offrir à un bébé.

Oh mon dieu...un bébé! Mes mains étaient plus grosse que sa tête! Je pourrais tuer cet enfant! Et si je l'echappais ou le brisais en deux? J'essayais de me calmer, les choses n'étaient pas encore dégringolée si bas. Je me demandais si Amy se portait bien, je ne voulais pas qu'elle aie peur toute seule, qu'elle aille à confronter ses sentiments seule.

Je tombais endormi sur mon divan, Adelina contre mon cou. J'espérais seulement ne pas avoir perdu Amy pour de bon.

Après quelques minutes, je repris vaguement mes esprits et me leva de sur le sol de mon vestibule. Je soupira et essuya les restants de larmes de sur mes joues. Je renifle et allume la lumière de mon salon. Je voyais quelques livres que j'avais laissé trainés sur la table basse et entreprit d'aller les rangers dans ma pièce rouge pour essayer de me changer les idées. Enceinte. Je n'avais jamais réaliser à quel point il y avait des risques. Je veux dire, nous avons fait l'amour sans protection, et comme l'imbécile que j'étais, je n'avais pas du tout pensée à ce que nous nous protégions. Je pouvais toujours sentir les faibles feeling de bière dans mon sang alors que j'ouvrais la porte de la pièce et alla y déposer les livres dans les rangées de ma bibliothèque. Je soupire et croise les bras.  Je retourne ensuite dans ma cuisine pour essayer de boire un verre d'eau, mais simplement entendre l'eau couler du robinet, me donnait mal au coeur. Je laisse donc mon verre quasiment vide su rle comptoir. Je ne pouvais pas être enceinte. Je veux dire, come on! J'ai littéralement tué Xavier alors en avoir un autre serait la pire chose qui pourrait m'arriver. J'eus une pensée pour Nikita qui était réellement paniqué. Je secoue la tête. Je ne voulais tout simplement plus penser à cela. Je pris une tylénol et alla me coucher dans ma chambre pour essayer de ne pas penser. 

Plus tard dans la journée, je me réveilla. Il était environs 11 heures du matin. Le soleil brillait déjà fortement dans le ciel et je devais me préparer pour aller travailler. Je sentais un malaise dans mon dedans. Ma tête n'avait toujours pas oublié l'accident de la veille. Je renifle et me retiens de ne pas me remettre à pleurer. Je me lève de mon lit et changea mes vêtements. En enlevant mon chaindail, je me regarde dans le miroir. Mon ventre était toujours aussi plat que d'habitude mais mon cerveau décida d'imaginer ce que ce serait d'Avoir un ventre rond avec un bébé dedans. Je porte ma main en tremblant sur mon ventre. Non. non.non.non.non. Je ne voulais pas être enceinte. Je lâche un faible grognement et mit mon chandail. Ne pouvais-je pas simplement avoir une seule journée tranquille, normale, sans badluck? Je descends à ma cuisine, mais ne mangea rien. Je ne me sentais pas du tout bien pour manger quoi que ce soit. Je pris mes clées et sortit de ma maison pour aller jusqu'à ma voiture. En levant les yeux, je remarque à quel point mon quartier résidentiel était bourré de famille. Je me mis à remarquer les innombrables enfants qui courraient dans l'herbe et qui lancait des balles. Plusieurs jeunes mères parlait avec leur carosse et leur bébé dedans. J'Entendais des rires et des pleurs. Je sentis mon coeur s'accéléré alors qu'elles m'envoyaient la main pour me saluer. Je sentis ma respiration devenir plus rare et plus tremblante. Les larmes me montaient doucement aux yeux et je ne fis que reculer en ouvrant la porte de ma maison et de m'enfermer chez moi. Je retrouve faiblement mon souffle. C'était horrible! Je ne faisais que vois des enfants partout! Je secoue la tête et refusa de me rendre au boulot, laissant un bref textos à Horatio lui disant que j'étais malade. Je me foutais qu'Horatio avait besoin de moi, je ne sors plus de chez moi. Jamais. Je ne serais pas une bonne mère. Notre vie est trop mouvementée et jamais, au grand jamais je n'allais réussir à avoir une famille normale. C'était, un cauchemar!  Je m'écrase sur mon divan et entreprit d'ouvrir la télévision. Je zappais les chaines de la télévision et n'arrêtait pas de tomber sur des émissions parlant de familles, d'enfants ou des foutu bébé cardio. Je ragea et lança ma télécommande a l'autre bout de la pièce. Je l'entendis se fracasser sévèrement contre le mur, mais c'était le dernier de mes soucis.  Je décida donc de me recoucher et ferma les yeux sur mon divan. Je réussi à dormir peut -être une heure, me faisant réveiller par un cauchemar. Il y avait un enfant courant dans l'herbre et m'appelant maman. Mais tout devint noir et il était mort, sur l'herbre tachant le vert de rouge. J'ouvre les yeux haletante et tremblante. Je remarque que mon cellulaire vibrait également. Fuck. Je soupire, me passe une main dans le visage et regarde l'afficheur. C'était Andy. Je roule les yeux et refusa l'appelle. Mais le connaissant si bien, il rappela immédiatement et je réponds dans un soupire. 

-... Quoi? 

Je n'avais aucunement envie de me rendre au boulot, j'allais devoir m'asseoir sagement et ne rien dire de déplacer et ne rien voler. J'aurais voulu rester chez Hasina, mais elle m'avait mis dehors en voyant l'heure. Assis dans la balistique, Nikita et Amy manquaient toujours à l'appelle. Je m'étendis sur le petit divan entre les deux bureau et fixait le plafond. Il était passer 9 heures. D'habitudes ils auraient dû être là. Je pris mon téléphone et appelais Nikita. Je tombais sur sa boîte vocale. Cela ne me découragea pas, je rappelais. Lorsqu'il répondit en russe, soupirant, je fronçais les sourcils.

- Qu'est-ce que tu fais? T'es où? Demandais-je.

- Chez moi. Répondit-il sèchement.

- D'accord...Clairement quelque chose ne va pas.

- Outre le fait que l'on essaye de me tuer constamment et que j'ai peut-être mis...Tu sais quoi? Oublie tout ça.

Nikita raccrocha et je l'imitais frustré. C'est sa Volkov, boude comme l'homme que tu es! Abandonne moi au CSI. J'appelais Amy et attendis qu'elle décroche. Pourtant je ne réussis pas à la rejoindre. Qu'est-ce qu'ils avaient tous aujourd'hui?? Je commençais à en avoir ras le bol. Je rappelais et rappelais encore, jusqu'à ce qu'Amy finisse par me répondre. Elle aussi me répondit par un soupir et je levais les bras dans les airs frustré.

- Bonjour Andy sa va bien? Oui, très bien et toi Amy. Dis-je avec sarcasme. Vous faites quoi toi et le Russe? Vous m'abandonner ici! Je suis sensé faire quoi? Devenir meilleurs amis avec Caine?

Je sentais qu'elle non plus n'était pas dans le meilleur des états. Je soupirais et me pinçait le nez avec frustration. J'ignorais ce qui c'était passé, mais je savais que la St-Valentin était sans doute en jeu.

- Est-ce que tu va m'expliquer pourquoi ton prince charmant boude comme un enfant chez lui et que tu reste enfermée chez toi? Demandais-je.

Je vis Delko passer devant la porte de la balistique et levais les yeux au ciel. On m'abandonnais avec lui? Déjà que je n'avais pas de liberté, je n'allais pas me taper Delko en plus. Je fouillais le bureau de Nikita et trouvait un colt, trois couteau, une grenade et de l'alcool à friction...vraiment? J'entendais la voix d'Amy au téléphone même si je lui portais peu attention, elle n'avait rien de gentil à dire de toute façon.

- Je passe chez toi. Décidais-je.

Je pris mes clés et attachait ma veste de complet. Le téléphone contre l'oreille je l'entendis m'avertir de ne pas faire une chose pareille.

- Je serais là dans quelques minutes. Met toi un sourire dans le visage d'ici là.

Je sortis en évitant le regard de Delko, Horatio me salua et je l'ignorais complètement, sortant dans le stationnement et trouvant ma voiture.

Je lève les yeux au ciel lorsque Andy commence à me parler de façon sarcastique. Oui, il aurait pu faire un effort pour se faire apprécier de son patron pour une fois. J'ai du décrocher contre mon gré sinon il n'allait pas arrêter de m'appeler. Il veut me parler, je veux rester tapi dans ma caverne à me morfondre sur ma vie. Bon.


- Andy, je ne sais pas ce que fait Nikita. Je-Je suis malade dis-je avec énormément d'hésitation, alors je ne veux pas sortir de chez moi. Bon. Laisse moi tranquille! 

Je soupire de frustration et accote ma tête contre mon divan. Pourquoi Andy n'arrivait pas à s'occuper seul au laboratoire pour une fois?Je ne me sentais pas bien, j'avais probablement un bébé dans mon ventre et il fallait qu'il vienne me reprocher que je n'étais pas au travail et que je le laissait seul avec Horatio? Really? Je fronce les sourcils et ouvre les yeux lorsqu'il me dit qu'il s'en venait chez moi. Non. NONONONONONO. 

- Andy Huntington je te défends de te pointer ici! 

Il me demande de me mettre un sourire dans le visage le temps qu'il arrive et il me raccrocha au nez. Est-ce qu'il était sérieux?! Il n'était pas le moins du monde au courant de ce qui ce passait en ce moment et il avait décidé de se pointer chez moi alors que j'étais en pleine crise existentiel et en pleine crise de madame surement-peut-etre-enceinte?! Il va vouloir des réponses, je le sais. Je me frustre et dépose brusquement mon téléphone sur la table basse et me lève pour aller chercher de l'alcohol dans ma cuisine. En sortant la bouteille de Vodka que Nikita avait laissé ici il y a quelques temps, je me rendis compte que je ne pouvais pas boire si j'étais enceinte. Cela serait trop dangereux pour le bébé. Je soupire et me passe une main dans les cheveux par frustration. J'avais réellement un problème avec l'alcool. J'ouvre mon congélateur et sors un énorme pot de crème glacée à la vanille et au caramel. Je pris une cuillière et retourna dans mon salon. Je m'installe sur mon tapis, sur le sol et accote mon dos contre mon divan. J'allume la télé de nouveau et laissa jouer ce qui passait et en mettant une couverture sur mes épaules, je mange ma crème glacée à meme le pot. Il entrera par lui même, je n'allais pas me lever pour ouvrir. De toute facon il était habitué. S'il me disait un seul commentaire de déplacé, je me promis de lui botter ses fesses canadiennes.  

En mangeant mes cuillières de crème glacée, j'entendis ma porte d'entrée s'ouvrir. Je ne me retourne même pas, sachant que c'était Andy qui venait d'arriver. J'enfonce brusquement ma cuillière dans mon pot en soupirant. Tout avait si bien commencé! On avait passé une si belle journée. Je prends mon téléphone pour voir si javais manqué un appel de Nikita, mais rien du tout. Je regarde son numéro et me dit que je devrais surement l'appeler. Je me décida de lui envoyé un message texte disant qu'Andy avait décidé de squatter ma maison et qu'il avait intérêt à venir parce que je n'allais pas devoir subir son interrogatoire seul.

Andy a décidé de squatter ma maison. VIENS SIL TE PLAIT j'ai besoin de toi, il faut qu'on parle. :-/

En arrivant chez Amy je sautais hors de na voiture et verouillais les portes. Le soleil brillait et les voisins d'Amy étaient dehors avec leurs enfants, jouant avec leur chien. Les enfants me saluèrent et je leur envoyais la main en me forçant à avoir l'air calme et charmant. Je me doutais bien qu'Amy ne répondrait pas si je sonnais, elle ne fermait jamais sa porte à clé de toute façon, j'ouvris donc la porte et entrais chez elle. La noirceur me frappa de plein fouet. Les rideaux étaient tous fermés et les lumières étaient tamisées, la télévision jouait assez fort pour que je l'entende. Je fis mon chemin jusqu'au salon et trouvais Amy assise par terre, un sceau de crème glacée dans les bras, elle avait la cuillère dans la bouche et l'air maussade. Ses yeux étaient bouffis et rougis d'avoir pleurer. Je fronçais les sourcils... Dans quoi est-ce que je venais de m'embarquer? Elle ne leva pas les yeux vers moi, même lorsque je me plaçais devant la télévision. Elle prit son téléphone et m'ignora. Pourquoi est-ce que ses deux là ne pouvaient pas régler leur problème comme des gens normaux?

- Alors? Demandais-je. Tu comptes rester muette? Amy ne me dit absolument rien et je soupirais. Je t'avais dis de te mettre un sourire dans le visage. Murmurais-je en secouant la tête.

Je m'assis à côté d'elle et croisais les jambes. Bon. Parfait. What next? Amy semblait tendue, elle mangeait avec rage et ...inquiétude? Je passais un bras autour de ses épaules. Je la sentis se figer un peu, mais elle relaxa lentement.

- Vous m'inquiétez tout les deux.

Je replaçais une mèche de cheveux derrière l'oreille d'Amy et volais sa cuillère pour prendre une bouchée de crème glacée. Elle m'observa profondément insultée et je lui souris. Plus sérieusement, je lui remis sa cuillère.

- Mais plus sérieusement, pourquoi vous me laisser seul aujourd'hui... Est-ce que vous êtes encore mal à l'aise de ce que vous avez vu chez moi?

À voir le regard d'Amy j'avais clairement besoin de la boucler parce que ce n'était pas un souvenir qu'elle gardait dans son cœur. Je levais les mains en signe de soumission, je ne dirais plus rien. Je me détachais d'Amy et pris place sur son divan en m'étirant les jambes. Je m'installais confortablement.

- Vous boudez tout les deux et ne dites rien du tout. Comment je suis sensé vous aider? Et en plus vous m'abandonnez!

Je vis la main d'Amy se resserrer sur son pot de crème glacée. Je soupirais. Je sentais que cette conversation ne plaisais pas du tout à Amy.